Pourquoi pleurons-nous tellement nos animaux de compagnie?
De la recherche, nous savons maintenant que, la perte d'un animal entraîne un processus de deuil très similaire à celui d'un être humain cher.
Seulement, il manque ici une culture du deuil socialement acceptée et répandue.
Beaucoup d'entre nous tombent alors dans le piège "C'est juste un animal de compagnie" et se sentent honteux de leur douleur.
En général, peu d'humains (ou presque) nous aiment inconditinnellement et peu nous donnent une rétroaction de façon non critique et positive équivalente à celle d'un animal.
Pourquoi pleurons-nous si violemment les animaux? Car ils peuvent nous être sacrément importants. Et tout ce qui est important pour nous, lorsqu'il n'est plus là, nous manque et nous fait mal.
Soudain, nous n'allons plus promener notre chien, nous perdons notre routine familière et bien connue qui nous a donné l'appui. Tout à coup le chat ne ronronne plus, le lapin ne sautille plus sur le sol, etc. Le temps passant, nous devons nous appliquer et réapprendre à vivre avec l'écart qui en résulte.
La psychologue Julie Axelrod dit que la perte d'une animal représente non seulement la perte physique d'un être cher, mais aussi d'autres multiples pertes à la fois.
Nous perdons parfois notre meilleur ami, une source d'amour, un compagnon constant (ou quelqu'un qui nous attend toujours à la maison), un ami qui nous donne la sécurité, nous apaise, nous détend, et que nous avons protégé toute sa vie, et qui donnait du sens supplémentaire à notre vie.
Au lieu de cela, le vide, l'absence physique, et notre douleur émotionnelle que nous portons dans notre coeur, écorché à vif par les circonstances.
Embrasser la mort
Étant donné que nos animaux de compagnie sont devenus des membres de la famille à part entière pour nous, il y aurait certainement des livres, et une myriades d'informations facilement accessibles sur Internet au sujet de la fin de vie en particulier, n'est-ce pas?
Eh bien non, pas vraiment. Il existe un millier de façons différentes d'essayer de garder nos animaux en bonne santé et de les faire vivre une vie heureuse, et même des livres sur l'au-delà. Néanmoins, la fin de vie et l'art du mourir ne rentrent pas dans cette image.
Mais la mort est-elle inacceptable, voire tabou? Est-ce vraiment quelque chose dont nous avons besoin pour «protéger» nos animaux ou pour tenter de contrôler la mort en les euthanasiant (à moins que notre animal n'arrive à être l'un des rares qui meurt durant son sommeil, comme tout le monde l'espère)? N'y aurait-il pas une solution alternative et respectueuse du niveau de douleur physique en fin de vie.
L'art de mourir n'est-il pas un moyen de se préparer pour le grand changement pour tous ceux qui sont impliqués. La fin de vie sur ce plan terrestre n'est-elle pas la seule transition d'un monde physique vers un monde énergétique, et une occasion unique pour les soignants d'accompagner avec bienveillance et compassion un voyageur bien aimé jusqu'à la porte de sa dernière demeure?
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Mantra : Yemaya Assessu de Deva Premal et Miten
" Yemaya Assessu
Assessu Yemaya
Yemaya Olodo
Olodo Yemaya"
Une célébration du moment où la rivière rencontre l'océan.
Yemaya est la Déesse de l'océan et la mère toutes les déesses.
Traduction
« J’honore l’espace en toi où tout l’Univers réside. J’honore ce espace d’amour, de vérité, de paix et de lumière en toi. Et quand tu es dans cet espace en toi et que je suis dans cet espace en moi : nous sommes UN. »
Bien cordialement,