Ne sur-vaccinez pas vos animaux de compagnie. Cela peut les tuer !

« J’ai vu mourir des animaux de compagnie pendant toute ma carrière », déclare le Dr John Robb, vétérinaire.

Des décennies de recherche ont pourtant établi un lien entre les décès d’animaux de compagnie et la sur-vaccination

Son plaidoyer est accueilli avec le sourire !

Au cours de 32 dernières années, le Dr John Robb s’est battu pour sauver des animaux de compagnie. En tant que vétérinaire, il a prêté serment de protéger ses patients à tout prix, même si cela devait enfreindre la loi.

Son principal combat a porté sur le problème de la sur-vaccination des animaux de compagnie.- Il a été ridiculisé, arrêté, mis en probation, et a une fois perdu sa clinique. Mais rien ne peut l’arrêter après avoir vu tous ces animaux souffrir et même mourir. Le vaccin qui l’a le plus préoccupé est le vaccin contre la rage. Le Dr Robb estime que le vaccin reste efficace pour toute la vie d’un animal (un test sanguin peut le déterminer).

Toutefois, en raison, en grande partie, de l’immense influence et de la puissance des fabricants de vaccins, le vaccin contre la rage est recommandé chaque année. Le Dr Robb déclare qu’il a vu des animaux vomir immédiatement après le vaccin, devenir malades, développer des maladies auto-immunes, des cancers et parfois même la mort. Non seulement le nombre de vaccins n’est pas réglementé, mais la dose n’est pas non plus ajustée en fonction du poids corporel, ce qui rend le vaccin potentiellement dangereux et même létal pour les animaux de petite taille. Un chat de 5 livres reçoit normalement le même vaccin que celui d’un chien de 100 livres.

Le Dr Robb trouve cela scandaleux, et il a administré des demi-plans de vaccin à ses plus petits patients. Cela lui a valu quantité de problèmes au cours des années, mais il n’est pas prêt à abandonner.

Le 22 février, il s’est exprimé devant le Conseil des fonctionnaires de l’Etat du Connecticut, les exhortant à se pencher sur la recherche en ce domaine, de même qu’à prêter une oreille attentive à ce que racontent les vétérinaires qui ont pu observer les effets secondaires désastreux des vaccins. Il les a exhortés à changer les lois traitant des vaccins pour animaux de compagnie. Mais au lieu d’être entendu, on l’a ignoré, ri de lui, et ces gens ont agi comme s’il n’avait rien dit.

 

Le Dr Robb s’exprime devant les fonctionnaires de l’Etat du Connecticut au sujet de la sur-vaccination des animaux de compagnie.

« Il y a des milliers d’animaux de compagnie qui meurent chaque jour », a déclaré le Dr Robb aux responsables de l’Etat du Connecticut.

Pour appuyer son point de vue, le Dr Robb a fourni à ces autorités 45 documents montrant que les vaccins sont « dose-dépendants ». Il leur a expliqué que des doses trop importantes pouvaient tuer un animal. Ces documents montraient également que, dans de nombreux cas, les vaccins de rappel ne sont pas nécessaires et ne protègent pas l’animal.

« Le patient ne reçoit aucun bénéfice et peut être exposé à un risque sérieux lorsqu’un vaccin inutile lui est administré », comme le précise un des articles présenté et écrit par le Dr Schultz.

Les vaccinations de rappel sont une pratique courante. Alors que les lois du Connecticut sur le dosage du vaccin sont vagues, la plupart des Etats exigent des vétérinaires qu’ils donnent la dose complète du vaccin, quelle que soit la taille de l’animal.

En ce qui concerne le vaccin contre la rage, celui-ci est administré à 12 semaines, puis répété au moins tous les trois ans. Mais en fait, il est le plus souvent administré chaque année. Il est également recommandé que quatre doses du vaccin soient administrées en seulement deux semaines chaque fois qu’un animal de compagnie entre en contact avec un animal potentiellement enragé.

Pourquoi tous les trois ans? Le Dr Schuttz explique que le coût élevé de ces études sur les vaccins a empêché de poursuivre les recherches pour savoir pendant combien de temps ces vaccins pouvaient se maintenir efficaces.

 

         Ne sur-vaccinez pas vos animaux de compagnie. Cela peut les tuer !

 La plus longue étude sur le vaccin contre la rage a duré trois ans, ce qui, selon lui, n’est tout simplement pas assez long. Il fait valoir que le vaccin est capable de fournir une immunité pendant des périodes beaucoup plus longues.

Actuellement, le Dr Schuttz est impliqué dans la « Rabies Challenge Fund », un projet visant à prolonger l’intervalle recommandé entre les rappels de trois ans à cinq ans, voire sept ans.

De son côté, le Dr Robb est convaincu qu’un vaccin contre la rage est valable, non seulement pour sept ans, mais pour la vie entière. Le Dr Robb a pu observer différents effets secondaires du vaccin comme des vomissements, des tumeurs au site d’injection, des maladies immunitaires et des décès immédiats (réaction allergique à un antigène).Le Dr Robb refuse d’administrer un vaccin complet aux animaux qui sont trop petits. Pour avoir pensé et agi de la sorte, il a été mis en probation et ne peut plus administrer aucun vaccin.

Il a contesté l’avis du Conseil d’Etat du Connecticut. La réponse qui lui a été faite l’a profondément choqué. « J’ai demandé au conseil d’Etat si je devais tuer un animal pour obéir à cette loi. Devrais-je vraiment le faire ? a-t-il demandé. - On lui a répondu que « oui ».

Quand une représentante a commencé à rire en disant : « J’ai passé toute ma carrière dans la pharmacie… », le Dr Robb lui a coupé la parole en disant : « Moi, j’ai passé ma carrière en voyant ces animaux mourir. »

Il est aussi possible que cette discussion sur les effets secondaires des vaccins administrés aux enfants constitue l’un des plus importants problèmes ayant trait aux lois sur la santé. Ces lois sont passées par des gens qui ont été mis en place par le principe des « portes tournantes ».

« Je dois faire ce que disent les fabricants. Et, le Conseil d’Etat du Connecticut dit: «si je dois tuer mon animal de compagnie, je dois le tuer parce que c’est la loi ».

«Personnellement, j’ai fait le Serment d’Hippocrate. Il s’agit là d’une loi plus importante jamais passée dans l’Etat du Connecticut. Cette loi qui voudrait que je tue mon patient. Cela je ne le ferai jamais. »

Source : Althealthworks

http://initiativecitoyenne.be/2017/04/le-dr-john-robb-veterinaire-denonce-la-survaccination-des-animaux.html

Le Crime vaccinal

"Un certain nombre de pays ne connaissent aucune obligation vaccinale, et c’est justement chez eux que les épidémies ont régressé le plus vite.

La sagesse est sans aucun doute  que le meilleur moyen pour échapper aux épidémies est de veiller à entretenir et renforcer nos défenses immunitaires  par des moyens naturels que les plantes nous offrent depuis la nuit des temps, mais que l’on nous a amené à ignorer pour des raisons bassement mercantiles. 

Alors que tous les animaux, même craintifs deviennent agressifs quand ils veillent sur leurs progénitures, il semble qu’une grande partie du genre humain y fasse exception, et semble avoir perdu l’instinct de conservation, laissant la place à la peur qui est très mauvaise conseillère.

L’ignorance n’a plus d’excuse à notre époque, mais elle est pratique pour une majorité, parce qu’elle dispense de la responsabilité."

Michel Dogna

La vérité sur les vaccins pour animaux de compagnie que vous n'entendrez pas de votre vétérinaire

 

"Jamais dans l'histoire du monde, il n'y a eu une plus grande hypothèse médicale qui a causé plus de morts et de souffrances, que les vaccinations telles que nous les connaissons aujourd'hui."

Docteur Vétérinaire Stephen Blake.

 

Article rédigé par Linda Zurich -  05 mai 2017

Les chiens et les chats domestiques souffrent aujourd'hui d'une épidémie de maladies dégénératives chroniques sans précédent qui est très inquiétante. Une grande partie est causée par les vaccins pour animaux de compagnie qui sont censés préserver leur santé.

Ces animaux présentent régulièrement une variété de symptômes et de diagnostics qui sont similaires à ceux vécus par leurs propriétaires.

Bas du formulaire

L'un des principaux facteurs qui affecte la santé de nos animaux de compagnie concerne la qualité (ou plutôt le manque) de la nourriture industrielle dont nous les nourrissons.

En plus de la mauvaise qualité des aliments, des problèmes de santé chroniques très graves apparaissent également en raison de l'utilisation abusive et choquante de vaccins pour animaux de compagnie.

 

Vaccinose

Le terme générique pour les dommages causés à la santé par les vaccins est la vaccinose.

Un petit nombre de vétérinaires avant-gardistes et de propriétaires d'animaux se rendent compte que le nombre excessif de vaccins couramment administrés aux animaux de compagnie fait des ravages sur leur santé. Ces vaccins ont la capacité de perturber, de dérégler et, dans certains cas, de détruire virtuellement la fonction immunitaire naturelle et innée de l'animal.

Sans un système immunitaire qui fonctionne correctement, un animal est plus vulnérable, qu'il ne le serait autrement, à une grande variété de problèmes de santé.

 

Réactions indésirables aux vaccins pour animaux de compagnie

Des éruptions cutanées et des problèmes de comportement, aux crises d'épilepsie, et même des tumeurs au site d'injection du vaccin, la liste des complications sanitaires liées au vaccin est longue et variée.

Beaucoup de gens ne font pas le lien entre l'administration d'un vaccin et les symptômes subséquents.

En outre, l'industrie vétérinaire ne reconnaît souvent pas une telle connexion. Les réactions indésirables aux vaccins ne sont souvent pas signalées.

A cause de ces raisons et parce que beaucoup de gens ont été conditionnés à croire que les vaccins sont complètement sûrs et efficaces, il existe une grave lacune dans la compréhension de la question des dommages causés par les vaccins dans la population générale.

Il faut sensibiliser davantage les gens à ce problème omniprésent. En outre, les effets causés par les vaccins peuvent également être impliqués dans des affections chroniques à plus long terme.

L'un des vétérinaires les plus progressistes dans la recherche sur les dommages causés par les vaccins est le Docteur Patricia Jordan, auteur du livre "Vaccinosis: Hidden in Plain Sight". En même temps, les vaccins causent réellement des dommages au niveau génétique.

Si cela est vrai, cela signifie que le vaccin endommage non seulement les animaux qui ont été vaccinés, mais  ces dommages se transmettent aussi par l'ADN.  Les conséquences des vaccins sont transmis aux progénitures et ainsi de suite sur la ligne. Potentiellement, la vaccinose héréditaire est également un fléau pour les générations futures.

 

Vaccins pour animaux de compagnie un cocktail de produits chimiques toxiques

Une des raisons pour lesquelles les vaccins peuvent causer des dommages à nos animaux de compagnie est à cause des ingrédients toxiques qu'ils contiennent souvent.

 

Parmi ceux-ci sont:

 

  • Thimérosal - Le thimérosal est un composé organique souvent présent dans les vaccins pour animaux de compagnie et utilisé comme conservateur contenant du mercure, un métal lourd extrêmement toxique. Le mercure est une neurotoxine puissante et l'un des poisons les plus puissants connu chez l'homme. Il a été démontré que le thimérosal interfère avec le cerveau, le système nerveux central, le système endocrinien, les reins et d'autres organes.

 

  • Aluminium - L'aluminium est un autre métal utilisé dans les vaccins qui a été impliqué dans des affections neurologiques chez l'homme. Il est ajouté aux vaccins comme adjuvant. Cela signifie que son but est d'améliorer ou de renforcer l'efficacité des vaccins contenant des virus tués.

 

  • Formaldéhyde - Le formaldéhyde est classé comme agent potentiellement cancérigène par l'EPA et est utilisé comme fixateur tissulaire dans certains vaccins.

 

  • Phénol - Les phénols sont hautement toxiques, caustiques dérivés du charbon qui sont utilisés comme conservateurs.

 

  • Virus - Les virus sont des agents infectieux microscopiques contenant du matériel génétique. Ils peuvent seulement se répliquer dans les tissus des organismes vivants.

 

  • Tissus d'organes d'animaux - Des tissus cellulaires provenant de toutes sortes d'animaux, y compris des singes, des lapins, des vaches, des moutons et des porcs, sont utilisés pour cultiver le virus contenu dans les vaccins.

 

Un animal de compagnie énorme ou minuscule :  même dosage!

Beaucoup de propriétaires d'animaux seraient surpris s'ils apprenaient que le dosage utilisé dans le vaccin est le même pour un petit ou gros animal.

Cela signifie qu'un Chihuahua de 5 livres reçoit le même dosage qu'un berger allemand de 100 livres.

 

Insanité des vaccins "booster" annuels pour animaux de compagnie

La plupart des vaccins pour les gens ne sont généralement administrés qu'une fois, plutôt que de façon répétitive année après année. Pourtant, il est devenu une pratique courante dans l'industrie vétérinaire de vacciner les animaux avec le même vaccin, encore et encore. Souvent, c'est sur une base annuelle sous la forme de ce qu'on appelle des injections de rappel.

Parce que chaque vaccin individuel déclenche une tempête de feu dans le système immunitaire, la vaccination à répétition chez les animaux de compagnie peut finir par éroder la fonction immunitaire de l'animal.

Il est important de comprendre que les vaccinations de routine sont une source de revenus substantiels pour les vétérinaires et les sociétés pharmaceutiques, mais pas dans le meilleur intérêt des animaux.

 

Contourner l'immunité naturelle du corps

Le corps de nos animaux de compagnie est équipé d'une gamme très sophistiquée de mécanismes immunologiques innés. Ces fonctions immunitaires sont spécifiquement conçues pour lutter contre les expositions pathogènes au niveau de la peau, du nez, des voies respiratoires, de la bouche et des voies digestives.

Tous ces endroits ont une chose en commun, les microbes doivent passer par une de ces barrières avant qu'ils n'aient l'opportunité de devenir contagieux. Ces systèmes protecteurs travaillent de concert pour identifier les pathogènes, les traiter, les neutraliser et créer des défenses efficaces contre eux.

Cependant, la plupart des vaccins pour animaux de compagnie sont administrés par injection sous-cutanée. Cela signifie que de telles injections délivrent des virus, qui sont des matériaux pathogènes, ainsi que d'autres toxines, directement à travers la peau dans les tissus sous-jacents du corps. Ceci force artificiellement ces substances toxiques à contourner certains des systèmes de défense naturels les plus importants et les plus efficaces du corps.

Ce contournement et ce court-circuit du système immunitaire peuvent déclencher des troubles auto-immuns chroniques. Cela comprend la maladie intestinale inflammatoire (MII), l'arthrite, les éruptions cutanées et autres.

 

Prendre une décision éclairée au nom de votre animal de compagnie

Il est de plus en plus évident, que les vaccins pour animaux de compagnie sont une fraude scientifique. Ils sont un peu plus qu'une énorme escroquerie d'argent parce qu'ils ne sont ni sûrs et ni efficaces.

En raison de ces preuves, je ne peux qu'inciter les gens à faire leurs propres recherches en s'éduquant avant de choisir de faire vacciner leurs animaux automatiquement.

 

Est-il nécessaire de vacciner les animaux?

http://www.syntonie-animaliere.ea26.com/res/site62148/res626669_Dr-Charles-Loops-avis-d-un-veterinaire-sur-la-vaccinatio.pdf

 

Additional Resources 

http://dr-jordan.com/downloads/
http://www.animaltalknaturally.com/past-programs/ (scroll down page slightly)
http://rawfed.com/vax/vax.html#other
http://www.rawfedcats.org/vaccinosis.htm
http://www.rawfedcats.org/links.htm
http://pets.groups.yahoo.com/group/TruthAboutVaccines/

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Linda Zurich

An avid independent researcher, writer, speaker, foodie, herbalist, lifelong lover of nature, and perpetual student, Linda Zurich is the author of Detoxification: 70 Ways to Cleanse, Clear and Purify Your Body, Space and Life, and the Raw Fed Cats eBook.

Source :

https://www.thehealthyhomeeconomist.com/the-truth-about-pet-vaccines-you-wont-hear-from-your-vet/

Pourquoi je ne vaccine pas mon chien du tout

Par Catherine O ' Driscoll

 

 SYNTONIE ANIMALE- BIEN-ÊTRE ET SANTE DES CARNIVORES DOMESTIQUES

 

http://www.syntonieanimale.com : Kramer Sylvia

 

Les chiens se trouvent au milieu d'une épidémie. Il ne s'agit pas d'une épidémie de maladies virales, mais de problèmes chroniques de santé. Les chiens sont assiégés par une peau qui démange, chargée de pus, et galeuse, et les vomissements et diarrhées sont devenus la norme.

Un chien sur cent souffre d'épilepsie et un nombre encore plus grand de chiens souffrent d'arthrite douloureuse. Les allergies ont également atteint des proportions épidémiques: les chiens deviennent allergiques à la vie !

Selon le Dr Jean W. Dodds, un éminent vétérinaire et chercheur, les maladies allergiques et auto-immunes ont augmenté depuis l'introduction des vaccins à virus vivant modifiés.

Les maladies auto-immunes entraînent l'organisme à s'attaquer à lui-même; elles incluent le cancer, la leucémie, la maladie de la thyroïde, la maladie d'Addison (maladie surrénalienne chronique), l'anémie hémolytique auto-immune, la polyarthrite rhumatoïde, le diabète, le lupus, la thrombocytopénie (maladie des plaquettes sanguines), la défaillance multi-viscérale (état dans lequel un ou plusieurs organes se détériorent rapidement), les inflammations de la peau et plus encore.

Nous avons aussi un très grand nombre de chiens ayant des problèmes de comportement, en grande partie à cause de la vaccination excessive et des aliments transformés pour animaux (croquettes et pâtées industrielles).

Les vaccins sont connus pour provoquer une inflammation du cerveau, ainsi que des lésions dans le cerveau et du système nerveux central. Le terme médical pour cela est "encéphalite" et le rôle des vaccins est reconnu dans le manuel de Merck. Merck est un fabricant de vaccins. 

Il y a des années de cela, j'étais un propriétaire de chiens typique et «responsable». Mes quatre Golden Retrievers ont été vaccinés chaque année, et ils ont été nourris avec des aliments commerciaux pour animaux familiers dits « complets et équilibrés», recommandés par mon vétérinaire.

Le tapis rouge était déployé métaphoriquement chaque fois que je me rendais chez le vétérinaire avec un chien souffrant d'une maladie chronique. Finalement, les problèmes sont devenus plus graves : mes chiens ont commencé à mourir plusieurs années avant leur temps de vie normal.

Au cours des années, j'ai recueilli des documents de recherche pour m'aider à prendre des décisions concernant l'élevage de mes chiens et pour partager ce que j'ai appris avec d'autres amoureux des chiens.

J'espérais aussi que les vétérinaires prendraient avis de ces recherches et arrêteraient de survacciner les animaux de compagnie. Toutes les interventions médicales comportent un risque – même une humble aspirine peut être mortelle. Il faut donc faire une analyse des risques/avantages, chaque fois que vous envisagez des médicaments. Quels sont les risques des vaccins ?

Des recherches de Frick et Brookes nous montrent que les vaccins peuvent déclencher l'atopie (allergies de la peau). (Am. J. Vet. res 1983 Mar;44(3):440-5). Dr Jean W Dodds nous dit que les maladies rétrovirales et adénovirales et les vaccins à virus vivants modifiés (MLV), sont associés au lymphome, à la leucémie, à la défaillance multi-viscérale, à la maladie de la thyroïde, aux maladies surrénaliennes, aux maladies du pancréas et à l'insuffisance médullaire.

Les vaccins causent le cancer chez les chats à leur point d'injection et, selon le Journal of Veterinary Medicine d'août 2003, les vaccins causent aussi le cancer chez les chiens à leur site d'injection. Les vaccins peuvent provoquer une anémie hémolytique auto-immune (JVM, Vol 10, no 5, septembre / octobre 1996; Merck Veterinary Manual), de l'arthrite (BVJ, mai 1995 et suis Coll Vet Intern Med, 2000; 14:381). L'épilepsie est un symptôme de l'encéphalite, qui, comme nous le savons déjà, peut être causée par les vaccins.

Selon le Dr Larry Glickman et son équipe de l'Université de Purdue, le sérum et les protéines étrangères dans les vaccins peuvent causer une auto-immunité (cancer, leucémie, défaillance multi-viscérale, etc..). Cette recherche indique également que des dommages génétiques sont possibles, puisque les chiens vaccinés développent des auto- anticorps pouvant attaquer leur propre ADN. Les recherches de l'Université de Genève font également écho à cette conclusion.

Au cours des années, de nombreux vétérinaires, notamment en Amérique, ont dit qu'ils pensent que les vaccins peuvent provoquer un large éventail de problèmes chez les animaux.

Par exemple, la vétérinaire Dr Christina Chambreau a déclaré:  "Les vaccinations de routine sont probablement la pire chose à faire pour nos animaux. Elles provoquent tous les types de maladies, mais pas directement, et avec le temps, nous ne faisons plus la corrélation, nous ne pouvons pas imaginer qu'elles puissent être causées par le vaccin".

Le Docteur Ch.Chambreau n'est pas la seule à penser de cette façon. Voir l'article du Vétérinaire Ch. Chambreau

Alors imaginez mon dilemme il y a dix ans, quand Edward et Daniel, mes chiens, sont arrivés chez moi. Ayant déjà vu mes précédents chiens vaccinés souffrir de maladies chroniques et mourir d'un cancer et d'une leucémie – sachant que les vaccins pourraient avoir causé ces maladies – que devais-je faire ?

J'ai conclu que je prendrais plutôt le risque d'une maladie virale avec mes chiens, que de les faire souffrir d'une épidémie de maladies chroniques et fatales qui atteignent fermement la population canine. J'étais consciente que certains allaient me considérer comme irresponsable. Mais, que courons-nous effectivement comme risque lorsque nous vaccinons?

OK, donc la maladie de carré est si rare que la plupart des vétérinaires ne l'ont pas vue depuis au moins dix ans. En outre, selon les chercheurs de premier plan, l'American Veterinary Medical Association a déclaré, qu'une fois immunisés contre la maladie virale, les chiens sont à l'abri pour des années ou à vie. Alors pourquoi les vétérinaires et les fabricants de vaccins tentent encore de faire vacciner les animaux contre la maladie virale tous les ans, ou même tous les trois ans – surtout quand on considère le risque ?

Selon la fiche technique Intervet, les chiens développent une immunité permanente à l'hépatite après l'âge de plus de 12 semaines. Alors pourquoi vacciner encore contre cela? La toux de chenil est traitée facilement dans la plupart des cas, et le vaccin n'est pas très efficace.

La leptospirose est rare (mon vétérinaire me dit qu'il n'a pas vu de cas en dix ans), et le vaccin est associé à certaines des pires réactions indésirables. Ce vaccin ne représente-il pas un risque inacceptable ? Et le parvovirus est – selon Concise Oxford Dictionary Veterinary Dictionary - rarement un problème pour le chien adulte en bonne santé.

La question suivante, est bien sûr, comment obtenez-vous un chien adulte en bonne santé ? Ha, ha ! À mon avis, vous obtenez un chien adulte en bonne santé en ne vaccinant pas du tout ! Les vaccins déstabilisent le système immunitaire, menant à toutes sortes de maladies chroniques.

De tout ce que j'ai vu et lu, les vaccins ne donnent pas une bonne santé à votre chien. Ils ont le potentiel de faire des chiens les ombres d'eux-mêmes, qui se démangent, ont un poil rugueux, des vomissements, des diarrhées des maladies qui ne sont pas normales et en attente pour des maladies plus graves, comme le cancer. Les vaccins représentent la recette parfaite pour l'épidémie des maladies chroniques, que j'ai décrites.

Cela veut-il dire que j'ai laissé Edward et Daniel ouverts et sans protection contre la maladie virale ? Non. Lorsqu'ils étaient chiots, ils reçurent le nosode homéopathique, une alternative plus sûre que le vaccin. Ils ont aussi été nourris naturellement toute leur vie, recevant des nutriments essentiels pour stimuler leur système immunitaire, et ils étaient bien préparés (renforcement du système immunitaire).

Ont-ils jamais souffert de récurrents points chauds, d'allergies, de troubles digestifs, d'infections oculaires et auriculaires ou toutes autres maladies chroniques ? Non. Sont-ils mort d'un cancer à l'âge de cinq ans ou d'une leucémie à l'âge de six ans ou d'une paralysie à l'âge de quatre ans, comme mes chiens précédents vaccinés ? Non. En fait, ils sont probablement très bien équipés au niveau immunitaire et assez sains pour dépasser la maladie, autrement je les aurais vaccinés de nouveau.

Est-ce probablement bon assez ? Eh bien, c'est la meilleure chose que tout le monde puisse faire. Parce que même les vaccins ne peuvent garantir l'immunité. Dois-je prendre l'option à plus haut risque ? Je ne pense pas. Il me semble que la bonne santé est un droit naturel. C'est seulement l'homme qui la place en haut du piédestal. L'ordre naturel est plus sage que n'importe lequel d'entre nous, et ceux d'entre nous qui ne pas vaccinent pas leurs chiens suivent les lois naturelles et ils ont raison.

Au sujet de Catherine O' Driscoll

CATHERINE O'DRISCOLL est le fondateur de Canine Health Concern, un organisme à but non lucratif qui vise à aider les propriétaires à élever des chiens en bonne santé, heureuse et dynamiques. Elle a mis en lumière la vérité sur les vaccins pour animaux de compagnie et fait la promotion de soins de santé canins naturels. Ses livres "Shock To The System” et “What Vets Don’t Tell You About Vaccines” ont ouvert les yeux de milliers de propriétaires d'animaux au niveau mondial.

Source : Dogsnaturallymagazine 

Traduction française: Syntonieanimale.com - Kramer Sylvia

Vaccinations des chiens et des chats

Plus de 99% des effets secondaires des vaccins

ne sont pas rapportés

 

Dogs Naturally Magazine, 18 février 2014

 

Les vaccins pour les animaux de compagnie ont récemment été sous le feu de vives critiques étant donné que leurs dangers sont de plus en plus reconnus.

Il faudrait être complètement isolé du monde pour ne pas avoir pris conscience des attaques dont les vaccins ont été la cible  par rapport à leur sécurité.

Il suffit de dire que, comme tout autre produit pharmaceutique, il existe des risques et des avantages aux vaccins. Les risques vont d’une légère inflammation en passant par les allergies, l’hypothyroïdisme et même jusqu’au choc anaphylactique.

 

Qui notifie les effets des vaccins chez les chiens et les chats ?

Supposons que vous ameniez votre chien ou votre chat chez le vétérinaire pour le faire vacciner et qu’il fasse une réaction au vaccin. Il faudrait vraiment que la réaction soit particulièrement grave et brutale pour que la plupart des vétérinaires la considèrent comme une réaction au vaccin. Bien que les réactions aux vaccins puissent prendre des semaines, des mois, voire des années à se développer, (il suffit de penser aux allergies, aux problèmes articulaires, à l’insuffisance rénale ou à l’hypothyroïdie), dans la majorité des cas, les vétérinaires ne pensent à des réactions aux vaccins que si l’animal souffre des symptômes  classiques comme la diarrhée soudaine, la léthargie ou des douleurs qui se manifestent dans les quelques heures qui suivent la vaccination.

On pourrait penser que les vétérinaires  sont les mieux placés pour déceler les réactions aux vaccins et qu’ils s’empressent de les rapporter à la FDA (Food & Drug Administration). On sait cependant que, chez les humains, moins de 1% des effets indésirables des vaccins sont rapportés à la FDA. Moins de 1% ! Il est à parier que les chiffres sont encore plus faibles pour les vaccins vétérinaires.

Mais, à la différence des réactions humaines aux vaccins, les réactions des animaux aux vaccins ne sont généralement pas rapportées à la FDA.

 

Alors qui garde la trace de ces réactions aux vaccins ?

C’est le CVB (Centre des produits biologiques vétérinaires), une division de l’USDA (United States Department of Agriculture) qui est responsable de l’approbation et de l’étiquetage des vaccins vétérinaires  et du suivi des effets indésirables.

Voici une petite histoire à propos du bon travail effectué par le CVB pour assurer la surveillance quant à la sécurité des vaccins.

En septembre 2013, le vétérinaire Ron Hines  a reçu deux lettres de propriétaires de chiens qui étaient morts après avoir reçu le vaccin contre la leptospirose. Il a appelé  le service vétérinaire du CVB qui lui a fait comprendre que les effets indésirables ne seraient pas discutés avec lui, qu’il s’agissait d’une compétence (propriété) des fabricants de vaccins.

Comment ? Nous ne serions pas autorisés à voir les rapports d’événements indésirables ? Pas étonnant dès lors que le public pense que les effets secondaires des vaccins soient chose rare. […] Il nous faut nous souvenir de tous ces chiens qui sont morts après avoir été empoisonnés par la mélamine il y a quelques années. Maintenant, imaginez que pareille chose se produise  sans qu’il y ait possibilité de déclaration à la FDA, et sans que les propriétaires d’animaux puissent trouver les rapports relatifs à ces aliments qui ont empoisonné leurs animaux !

C’est effectivement ce qui se passe maintenant avec les vaccins. Nous ne savons  où aller pour nous informer sur leur sécurité.

Donc, comme le Dr Hines n’a pas pu avoir accès aux rapports d’effets secondaires des vaccins contre la leptospirose, il a demandé au CVB de pouvoir prendre connaissance des études de sécurité qui avaient été effectuées pour ce vaccin. A nouveau, le CVB a refusé de donner cette information.

«  Vous pouvez à tout moment voir sur internet les rapports de réactions aux vaccins que vous prenez », dit Hines. «  Mais vous n’êtes pas autorisé à voir la même information quand il s’agit de votre animal de compagnie. »

Le Dr Hines a finalement déposé une requête d’information, et bien que le CVB lui ait signalé que la chose n’était pas possible, il est finalement parvenu, en décembre 2013, à consulter les rapports d’effets secondaires des vaccins contre la leptospirose.

 

Mais il a dû constater qu’aucun des chiens qui étaient morts ne figurait dans ces rapports.

Comment pareille chose est-elle possible ?

Eh bien, il semble que 90% des effets indésirables ne sont pas signalés au CVB et qu’ils sont directement envoyés aux fabricants de vaccins.

 

C’est là que cela devient étrange

Qu’est-ce qui se passe quand une réaction négative au vaccin est rapportée au fabricant (chose que se passe dans 90% des cas) ? Ce fabricant est alors tenu de transmettre les rapports au CVB, non ?

Faux ! Le CVB ne reçoit les rapports d’effets défavorables que s’il en fait la demande. Le Dr Hines a finalement appris que cela arrivait rarement.

Ainsi, les rapports de ces deux chiens, (et on peut parier ceux de milliers d’autres qui seraient morts après la vaccination) n’ont pas été suivis ni vus par qui que ce soit, à l’exception des fabricants de vaccins.

Récapitulons…

Seulement 1% des effets indésirables sont susceptibles d’être signalés. De ce nombre, 90% sont directement signalés au fabricant du vaccin, mais pas au CVB.

Quand les fabricants de vaccins reçoivent ces rapports, ils ne sont pas obligés de les transmettre au CVB et le CVB ne les demande pas systématiquement.

Le nombre infime de rapports qui parviennent au CVB ne sont accessibles ni aux vétérinaires ni au grand public. Il n’existe aucun moyen pour les vétérinaires et propriétaires d’animaux de savoir combien d’effets secondaires sont causés par les vaccins.

 A quel genre de système foireux avons-nous affaire ?

 

Que pouvons-nous faire pour changer la situation ?

Si vous soupçonnez que votre chien ou votre chat a souffert de l’effet secondaire d’un vaccin, assurez-vous que votre vétérinaire fera parvenir son rapport au CVB. Assurez-vous qu’il soit parfaitement complété, faute de quoi, il ne pourrait jamais parvenir au CVB. Notez également que vous ne pouvez établir de rapport sans préalablement contacter le fabricant de vaccins. Ne vous arrêtez pas là. – Le CVB doit être contacté directement.

Finalement une bonne nouvelle et une demande du Dr Hines :

« Le 8 janvier 2014, j’ai reçu un e-mail du CVB m’informant qu’ils envisagent de modifier leur politique et de faire en sorte que les fabricants de vaccins leur rapportent toutes les réactions indésirables. La chose ne va guère réjouir les compagnies pharmaceutiques car ils possèdent leurs lobbyistes, alors qu’il n’existe pas de lobbying à Washington pour vous et votre animal de compagnie. Vous devez faire savoir au CVB et à vos députés que vous soutenez  sa décision. Veuillez ajouter que l’information doit être postée sur le site du CVB d’une manière compréhensible et facile à lire pour les propriétaires d’animaux de compagnie comme vous – tout comme la FDA poste, sur son site, des rapports d’effets secondaires des vaccins que vous recevez vous et votre famille pour pouvoir prendre de sages décisions

S’il vous plaît, faites savoir au CVB que vous exigez mieux encore de leur part. La lutte sera longue et difficile, mais cette bataille en vaut la peine.

Sources : Dogsnaturallymagazine.com & NVIC Newsletter, 26 mars 2014

Très important : souvenez-vous qu’à l’instar des pédiatres dont le tiers des revenus annuels découlent directement de l’acte vaccinal (sans compter l’effet « boomerang » du business avec les consultations pour effets secondaires de vaccins), les vétérinaires font un énorme business avec les vaccinations des chats et des chiens, et ce d’autant plus qu’elles sont annuelles –ce qui ne repose sur AUCUNE base scientifique mais uniquement sur une affaire commerciale ! Donc il est très clair qu’on va retrouver sur le bienfondé des vaccins pour animaux les mêmes barrières universitaires, les mêmes dogmes qu’avec la vaccination humaine, quoi qu’il semble que les effets graves, dont les cancers directement dus aux vaccins soient un fait connu et accepté des vétérinaires (alors que l’establishment officiel nie que les vaccins humains aient le moindre lien avec le cancer…)

Si vous aimez votre animal de compagnie, ayez la bonne idée de demander à votre vétérinaire de vous montrer la moindre preuve SCIENTIFIQUE (donc une étude publiée dans une revue vétérinaire MAIS qui soit non financée par les fabricants de vaccins) justifiant le bienfondé/ le caractère vital de répéter absolument chaque année les vaccins chez votre chat ou votre chien. Etant donné que non seulement cela vous coûte de l’argent mais qu’en plus, cela coûte en santé à votre animal, ayez au moins le courage d’exiger ces preuves sonnantes et trébuchantes qu’au moins ça se traduit par une protection accrue réellement substantielle !

http://initiativecitoyenne.be/article-vaccination-des-chats-et-des-chiens-99-des-effets-secondaires-ne-sont-pas-rapportes-123142537.html

Le trillion de dollars d'escroquerie du vaccin

Photo d'une file pour la vaccination contre le distemper à Chicago

 

"Aucun médecin au monde ne vaccinerait son enfant de la façon dont ils veulent vacciner votre chien!".

 

Rien n'a était fait de plus important pour les chiens que l'augmentation de la vaccination.

Il est difficile pour les gens d'aujourd'hui de comprendre combien dévastateur était la maladie de Carré canine (distemper), il y a seulement 60 ans lorsqu'en allant à une exposition un chien était souvent le précurseur de la perte d'un chenil tout entier, avec un animal malade servant de vecteur de la maladie à des centaines d'autres animaux qui étaient sains.

Grâce aux chasseurs de renards de la Grande-Bretagne et aux propriétaires de ferme de fourrure d'Amérique, le monde a maintenant un vaccin contre le distemper, et d'autres vaccins ont continué à arriver rapidement, comme le parvorirus,  l'adenovirus et le parainfluenza, pour ne nommer que les quatre plus importants.

J'ai écrit dans le passé comment donner un vaccin et comment donner moins de vaccins. (http://www.terrierman.com/vaccines.htm)

Maintenant, permettez-moi de passer à un autre sujet: l'escroquerie continue - et le danger médical - de sur-vacciner les chiens.

La plupart des gens portent leur attention sur une puce dans le sable, alors laissez-moi vous partager ce que le Docteur Ronald D. Schultz, Président de l' University of Wisconsin's Department of Pathobiological Sciences fait avec ses propres chiens.

Cet homme est l'un des experts les plus importants au monde en matière de vaccins pour chiens et chats et, comme il l'a écrit dans le numéro de mars 1998 du Veterinary Medicine:

"Mes propres animaux de compagnie sont vaccinés une ou deux fois lorsqu'ils sont chiots et chatons, puis jamais plus, sauf pour la rage".

Son site : https://www.vetmed.wisc.edu/people/ronald%20d%20schultz/

 

Quoi? Encore une fois, à l'exception de la rage?

Cet homme est-il fou?

Non, il est éduqué, et il connaît une simple vérité: après un  rappel à l'âge d'un an, les chiens et les chats ont une immunité à vie contre la parvovirose et la maladie de Carré.

En ce qui concerne les autres vaccins - Corona, Lepto, Lyme, Bordatella - ces vaccins ne doivent généralement pas être administrés en raison de leur manque d'efficacité, du danger relatif ou de la rareté de la maladie et de la facilité du traitement après infection.

Ce n'est que dans le cas de la rage (parce qu'il s'agit d'une exigence légale), que le rappel est nécessaire, et dans ce cas, le rappel n'est nécessaire qu'une fois tous les trois ans après la première année.

Mais, qu'en est-il de tous ces rappels?

"Mon vétérinaire m'envoie une carte de rappel chaque année, et j'ai déjà payé une petite fortune pour la vaccination."

Juste !

Et vous avez été arnaqué.

L'information que je vous donne ici n'est pas NOUVELLE, elle est relativement ancienne.

Permettez-moi de citer directement un extrait du Kirk's Current Veterinary Therapy XI (Small Animal Practice), page 205, publié en 1992, donc, il y a plus de 25 ans:

La vaccination annuelle est une pratique qui a débuté il y a de nombreuses années et qui manque de validité ou de vérification scientifique.

Presque sans exception, il n'existe pas d'exigence immunologique pour la revaccination annuelle. L'immunité aux virus persiste pendant des années ou pour la vie de l'animal.

Une vaccination réussie à la plupart des agents pathogènes bactériens produit une mémoire immunologique qui reste pendant des années, permettant à un animal de développer une réponse anamnésique protectrice (secondaire) lorsqu'il est exposé à des organismes virulents.

Seule la réponse immunitaire aux toxines nécessite des amplificateurs (p. Ex., Le tétanos chez l'homme), et aucun vaccin de ce type n'est actuellement utilisé pour les chiens ou les chats.

En outre, la revaccination avec la plupart des vaccins viraux ne permet pas de stimuler une réponse anamnestique (secondaire) à la suite d'une interférence par un anticorps existant (similaire à l'interférence des anticorps maternels).

 

Qu'est-ce que tout cela signifie? 

Commençons par la première ligne: «La vaccination annuelle est une pratique qui a débuté il y a de nombreuses années et qui manque de validité ou de vérification scientifique».

Ce qui signifie que la ré-vaccination des chiens et des chats est une vieille arnaque.

Dès le début, les vétérinaires ont su que c'était une foutaise.

Pensez-y!

Les vétérinaires aiment leurs enfants, mais ils ne vaccineraient pas leurs enfants pour la rougeole, les oreillons, la rubéole, la variole et la polio chaque année, ou tous les trois ans, toute leur vie.  Le font-ils? Non. Au moment où un enfant est adulte, il est également accompagné des vaccins qu'il a reçus.

C'est comme ça que cela devrait être aussi pour les chiens, mais il n'y aurait pas d'argent à faire...

En l'absence de réglementation, les soins vétérinaires concernent l'argent.

En outre, la vaccination excessive ne semble évidemment pas être une mauvaise médecine pour les propriétaires d'animaux domestiques, alors qu'elle semble évidemment être une bonne affaire lucrative pour les producteurs de vaccins et les vétérinaires.

 

Quelle bonne affaire? Eh bien, faisons les calculs.

Un rappel de vaccin nécessite une visite au bureau vétérinaire  pour lequel vous payerez habituellement 75$.

En outre, il y aura une charge de 15$ pour un vaccin combiné pour le distemper et le parvorirus.

Injecter seulement 2000 rappels par an générera 180.000$, pour lesquels le vétérinaire paiera environ 3.000$ pour les vaccins et à peu près la même chose pour les cartes postales de rappel.

Et, pour mémoire, je suis très conservateur ici. La «facturation absurde de la pratique vétérinaire" (voir le lien) vous rappellera 165$, car elle regroupe le protocole de vaccination avec un échantillon de selles sans valeur (vous pouvez vermifuger votre chien vous-même pour 2$) et un test Snap sans valeur qui, sans nul doute, est utilisé pour augmenter les tests d'un chien parfaitement sain et asymptomatique.

Bien sûr, le vétérinaire n'est pas la seule entité en activité ici. Les fabricants de vaccins le sont aussi.

Une partie clé de l'escroquerie du vaccin est que les fabricants de vaccins ont pris une page du playbook des vendeurs d'antibiotiques et ont limité la date de validité de leurs vaccins, afin de générer plus d'affaires.

La validité d'un antibiotique se fait en mettant une courte date d'expiration sur la bouteille, généralement un an après sa fabrication.

Mais, comme je l'ai noté dans le passé, les recherches menées par les États-Unis montrent que tous les antibiotiques non liquides sont efficaces pendant de nombreuses années après leur date de validité.

Cependant, en limitant la date de validité, les fabricants d'antibiotiques peuvent obtenir de la part de dizaines de millions de personnes de jeter des milliards de dollars de bons antibiotiques chaque année.

Le résultat, bien sûr, est une augmentation artificielle des ventes, et peu importe les conséquences pour la santé publique et l'environnement.

Les fabricants de vaccins pratiquent essentiellement la même chose, en limitant la durée de l'immunité des vaccins. En disant qu'un vaccin pour chien est bon pour seulement un ou trois ans, la vaccination augmente les ventes des produits de 4 à 10 fois.

 

Quelle est l'ombre de cette arnaque?

Considérez ceci: même lorsque la loi exige un rappel, comme c'est le cas pour la rage, les compagnies pharmaceutiques vous trompent toujours.

Par exemple, la compagnie pharmaceutique vend une formule de vaccin contre la rage identique sous deux étiquettes différentes - Defensor 1 et Defensor 3 - en fonction des besoins de la vaccination d'un état spécifique à un autre aux Etats-Unis.

Si vous vivez en Alabama (un état américain qui exige une vaccination annuelle contre la rage), votre chien sera vacciné chaque année avec un vaccin marqué pour trois ans ou un an.

Et ne vous trompez pas, cela n'accordera pas plus de protection aux chiens où le protocole légal de vaccination de trois ans est en vigueur.

Peut-être est-ce maintenant le bon moment pour arrêter et expliquer comment fonctionnent les vaccins, et pourquoi les vaccins à virus vivants modifiés fonctionnent généralement à vie.

La brève histoire est que les humains, les chats et les chiens inoculés avec des vaccins à  virus vivants modifiés, finissent par créer des "cellules T à mémoire".

Les cellules T à mémoire sont des cellules qui contiennent la recette ou le code que le corps a d'abord utilisé pour combattre l'infection atténuée (affaiblie) lorsqu'elle a été introduite dans le corps sous la forme d'un vaccin à virus vivant modifié.

Si plus tard, un corps est mis au défi par la même infection, les cellules T à mémoire se mettent en action, en utilisant l'ancien code, générant un vaste réservoir de nouveaux anticorps pour lutter contre l'infection.
C'est ainsi que tous les vaccins fonctionnent et comment ils ont fonctionné depuis que Cowpox a été utilisé pour combattre la variole en 1796.

Non seulement, les rappels de vaccins n'ont jamais été nécessaires, sauf pour la rage.  Mais, la vaccination excessive est réellement dangereuse, c'est pourquoi il est considéré comme une mauvaise médecine de revacciner vos enfants encore et encore en dehors d'un protocole de vaccination clair.

Non seulement l'infection est une possibilité, mais aussi une possibilité de sur-stimulation du système immunitaire, ce qui peut déclencher des troubles auto-immuns graves.

En outre, une injection dans n'importe quelle zone avec une aiguilles augmente (même légèrement) la probabilité qu'un cancer se produise à cet endroit.

Bien que la science des vaccins soit connue depuis longtemps, ce n'est qu'après l'avènement d'Internet que les consommateurs ont commencé à comprendre le degré avec lequel leurs animaux étaient sur-vaccinés et les conséquences financières et sanitaires de cette pratique.

Grâce à l'information et au travail de personnes, comme le vétérinaire Jean Dodds, les gens ont commencé à se poser des questions et, par conséquent, de nombreux vétérinaires sont passés d'un calendrier de vaccination annuelle à un calendrier de vaccination tous les trois ans.

Mais les vaccins de trois ans sont aussi une ruse. Ce protocole n'a pas été adopté en raison d'une efficacité éprouvée, mais parce qu'il s'agit d'un modèle d'affaires transitif pour les vétérinaires, une fois qu'ils dépendent du revenu annuel de la vaccination.

L'American Veterinary Medical Association, par exemple, ne viendra pas tout de suite vous dire que votre chien ou votre chat ne devrait pas être vacciné du tout après l'âge d'un an.

Au lieu de cela, cette association a publié une «ligne directrice» suggérant que tous les trois ans pourrait être une bonne idée, mais elle note que les vétérinaires sont libres de «développer des recommandations de vaccination individualisées pour chaque patient».

Qu'est-ce que cela veut dire?

Photo d'une file pour la vaccination de la polio

Cela signifie que tous les vétérinaires sont censés vous considérer comme une affaire possible, puis peuvent jouer comme bon leur semble.

AVMA n'offre aucun protocole de traitement réel après la première année, car ils savent que c'est une arnaque.

Si un vétérinaire veut arnaquer ses clients chaque année, il peut. Et s'il veut le faire tous les trois ans, il peut aussi. Et si le client est vraiment intelligent et bien informé, on lui trouvera autre chose à facturer!

L'AVMA sait la vérité: qu'après l'âge d'un an, la vaccination contre le distemper et la parvorirose offre une protection à vie, et qu'en dehors de la vaccination contre la rage tous les trois ans, aucun autre vaccin ne serait jamais nécessaire.

Mais, bien sûr, ils veulent garder cette information secrète de la clientèle.

 

Mais les secrets ont un moyen de fuir.

En 2003, The American Animal Hospital Association (AAHA) a publié ses Lignes directrices sur les vaccins canins, Recommendations, and Supporting Literature. Ce rapport a été mis à la disposition des vétérinaires uniquement, mais des copies ont été obtenues, et à la page 18, ce rapport dit la vérité:

"Nous savons maintenant que les injections de rappel n'ont pas de valeur chez les chiens déjà immunisés, et l'immunité pour le distemper et les vaccinations durent au moins 7 ans selon les études et jusqu'à 15 ans (à vie) selon le titre d'anticorps".

 

Une immunité à vie, il y a, du noir et du blanc.

Lorsque la vérité à propos de l'escroquerie du milliard de dollars de la vaccination a été ébruitée, la vaccination de routine non nécessaire pour les chiens a chuté et un resserrement des cordes de la bourse a eu lieu dans de nombreux bureaux vétérinaires.

 

Que faire?

La réponse, bien sûr, est d'inventer plus de facturations indésirables. Et à peu près au moment où les revenus des vaccins ont commencé à chuter, les vétérinaires ont soudainement commencé à encourager le nettoyage annuel des dents, avec un travail de laboratoire coûteux.

Sans vergogne, les revues vétérinaires ont suggéré que les vétérinaires devraient facturer davantage en proposant de «vérifier les niveaux de la thyroïde» et en poussant régulièrement les «déparasitages».

Les niveaux de titrage pourraient être vérifiés sur les anciens vaccins (et ne vous en faites pas, un titrage faible n'est pas une indication du manque d'immunité). Et, bien sur, garder les vaccins de trois ans en option.

En fait, vous pourriez vouloir étendre un peu la vaccination, donner le vaccin contre la rage une année, le parvo la suivante, et le distemper la troisième année.

De cette façon, un chien ou un chat devra venir tous les ans comme auparavant. Brillant!

Dans l'ensemble, les conseils des associations professionnelles vétérinaires ont été simples et directs: il est temps de trouver une nouvelle arnaque pour remplacer l'ancienne (vaccins annuels).

 

Comment le client peut-il se défendre? 

Simple: informez-vous et n'ayez pas peur de dire NON.

Posez des questions, "utiliser Google", et traquez les charges inutiles qui sont mises sur votre facture.

Enfin, laissez-moi terminer en disant ceci: Si vous souhaitez vacciner votre chien et votre chat chaque année, ou tous les trois ans, ou toutes les deux semaines, aller y tout de suite.

C'est une mauvaise médecine, mais c'est nous sommes toujours dans un pays libre, et vous êtes libre de perdre de l'argent et d'augmenter les chances pour de graves conséquences pour votre animal de compagnie de ne pas avoir de bénéfices pour la santé.

Comme je l'ai noté dans le passé, plus d'animaux domestiques sont tués chaque année avec une sur-vaccination que tout autre outil.

De même, vous êtes également libre de donner à votre animal toute la panoplie de vaccins sans valeur et/ou dangereux qu'un vétérinaire pourrait essayer de pousser: leptospirose (le vaccin le moins efficace et le plus dangereux), Lyme, Giardia, Bordatella et Coronavirus.

Probablement que rien de mal n'arrivera tout de suite à votre chien, mais tout ce que vous allez perdre immédiatement est de l'argent.

Les vétérinaires, bien sûr, continueront à pousser les vaccins sans valeur. C'est un fait prouvé qu'il est facile d'effrayer les patients pour qu'ils fassent des frais vétérinaires inutiles supplémentaires. 

Certains vétérinaires sans éthique n'hésitent pas à utiliser la menace, la culpabilisation, des prédictions dramatiques aléatoires, des mythes, pour influencer leurs clients.  Ils utilisent le côté émotionnel et la peur, cela marche presque à tout les coups! Informer est différent que d'utiliser le côté émotionnel pour influencer, beaucoup de personnes se résignent ou se soumettent face à une blouse blanche.

Et, il est prouvé que beaucoup de gens pensent que plus ils dépensent de l'argent pour leur chien ou leur chat, et plus il a reçu de vaccins, et plus il sera en santé et en sécurité.

Mais rappelez-vous ceci: aucun médecin du monde ne vaccinerait ses enfants comme on vaccinerait un chien ou un chat.

Oui, c'est une bonne pratique commerciale pour le vétérinaire de vacciner trop, mais est-ce réellement une bonne pratique de soins de santé pour votre chien ou votre chat?

Non.

Et sur ce point, il n'y a plus de débat sérieux.

Traduction et adaptation Sylvia Kramer, auteur du livre Stop! A la malbouffe croquettes de nos chiens et chats

http://www.communication-animale-sylvia-kramer.be/


Références
** Veterinary Trades Say It's Time to Rip-off the Rubes
** Vaccines for Less
** A Quick Guide to Common Canine Diseases** The Billion Dollar Heartworm Scam
** The Billion Dollar Lyme Disease Scam
** Rimadyl: Relief From a Swollen Wallet
** SuperGlue to Close Wounds
** Antibiotics for Less Without a Prescription
** Saving Big Money With a Ball Point Pen
** Bitter Pills and Veterinary Care
** Health Care Basics for Working Terriers and Other Dogs

 

Source :

https://www.bloglikes.com/blogs/2017-08-24/the-billion-dollar-vaccine-scam

Les 10 plus gros mensonges sur la vaccination

 

Publié par Sylvie Simon sur 5 Décembre 2013, 12:43pm

Catégories : #Santé- Thérapie- Dépistage- Pharmacopée

 

Article de Sylvie Simon du 12/11/2010 en réponse à l'actualité : sur Slate

Il y a deux histoires : l’histoire officielle, menteuse… puis l’histoire secrète où sont les véritables causes des évènements, l’histoire honteuse. Erreur, approximations, mensonges délibérés, vérités partielles ou partiales, prédominance d’une seule pensée : peu de domaines aujourd’hui échappent à ces phénomènes.


Paradoxalement, la sur-information y contribue. Alors qu’on aurait pu espérer que la démultiplication de l’information s’accompagnerait d’une pluralité de points de vue, nous voyons au contraire proliférer cette pensée unique qu’il est de bon ton de dénoncer… sans pour autant qu’on lui propose de remède. (Olivier Clerc)

L’objectif de la collection n’est pas de remplacer une pensée unique par une autre : elle doit permettre au contraire d’aller jusqu’au bout de la réflexion sur un sujet où existent des informations divergentes, parfois même opposées.


Les ouvrages de la collection possèdent une bibliographie qui aidera à se documenter et à se forger par soi-même sa propre opinion.

 

Mensonges sur les vaccins

"Il existe trois sortes de mensonges : les mensonges, les sacrés mensonges, et les statistiques" (Mark Twain)


Les vaccins ne sont pas des médicaments et sont destinés à des êtres en bonne santé dans le but de prévenir une maladie hypothétique. Aussi, il serait normal que tout candidat aux vaccins reçoive une information honnête, précise et complète, sur les risques de la maladie dont il veut se protéger, mais aussi sur les risques qu’il court en se faisant vacciner. Or non seulement l’information, quand elle existe est tronquée et falsifiée, mais souvent elle est parfaitement mensongère.

Mais comme l’avait recommandé Joseph Goebbels, ministre de la propagande nazie, qui connaissait bien la question : "Répétez un mensonge mille fois, il restera un mensonge ; répétez dix mille fois, il deviendra une vérité".


C’est exactement ce qui se passe dans ce domaine, où des mensonges dix milles fois répétés sont devenus des dogmes qui déclenchent des crises d'hystérie dès lors qu’on ose les remettre en cause.



L’histoire de la vaccination est jalonnée de falsifications, de dissimulations et de mensonges.


Sylvie Simon a opté pour les dix plus gros flagrants, chacun ayant engendré des dizaines de plus petits mensonges.


"Le mensonge est rarement issu par génération spontanée d’une volonté déterminée à l’avance par quelque Machiavel. C’est bien plus souvent un glissement lent et fatal vers une erreur perçue, mais inavouée, l’orgueil se mêlant ici à la cupidité" (Thierry Fenoy, avocat au barreau de Châlons-sur-Saône).

 

MENSONGE N° 1 : Pasteur est un bienfaiteur de l’HUMANITE

"Tous nos problèmes actuels sont l’inévitable résultat de nos brillantes solutions d’hier" (Henry Bergman)

Bien que l’aventure de la vaccination ait commencé à la fin du XVIIIème siècle lorsque le médecin anglais Edward Jenner entreprit d’inoculer la vaccine, maladie spécifique des bovins, afin de protéger les hommes de la variole ou petite vérole, c’est Pasteur (1822-1895) qui reste le père de la vaccination et c’est avec lui qu’a débuté le long cortège de mensonges.

Cet homme brillant, intelligent et gros travailleur, était un expert en communication et se tenait au courant des travaux effectués par ses pairs. Sa tactique a toujours été la même : il savait reconnaître les bonnes idées mais commençait par les critiquer ouvertement, puis il se les appropriait sans vergogne en prétendant les avoir découvertes.

C’est ainsi qu’il est devenu un bienfaiteur de l’humanité et, surtout, un mythe intouchable.

Le dogme pasteurien est tellement ancré dans les esprits que rien n’a pu encore l’ébranler et les Français idolâtrent encore un imposteur.


D’une part, Pasteur a maquillé les résultats d’expérience qui ne lui étaient pas favorables, ensuite, il s’est approprié certains travaux d’autres chercheurs, dont Antoine Béchamp (1816-1908), l’un des plus grands savants du XIXème siècle, médecin biologiste, naturaliste, professeur de chimie médicale et pharmaceutique à la faculté de Montpellier et professeur de chimie biologique et de physique à l’Université de Paris, puis doyen de la Faculté libre de Lille.

Béchamp a démontré la véracité des vues de Claude Bernard sur la valeur du terrain propre à chaque individu et fut le premier à comprendre la cause microbienne des pathologies infectieuses.

Cependant, son œuvre est à peu près inconnue de nos jours, parce qu’elle a été systématiquement discréditée et falsifiée aux profits des intérêts personnels de Pasteur.

Dès l’école, nous apprenons que Pasteur « a sauvé le petit joseph Meister, mordu à la main par un chien enragé ». À vrai dire, il n’existait aucune certitude que le chien fut enragé car on ne signala aucune autre morsure ; de plus, quand bien même il l’aurait été, le risque pour le jeune Meister était infime, car un animal réellement enragé – ce qui est extrêmement rare – ne transmet la maladie que dans 5 à 15 % des cas.

L’affaire de la rage est l’exemple même des mensonges de Pasteur qui ont été répétés et introduits par ses admirateurs dans la mémoire collective, au point d’être devenus des vérités pour le commun des mortels.

Le vaccin de Pasteur, à base de moelle desséchée, était très dangereux et fut bien vite abandonné, et le jeune Meister a eu beaucoup de chance d’en réchapper.


L’histoire n’a retenu que le succès de ce vaccin, mais a oublié de dire qu’il avait multiplié les décès par la rage.

Entre 1869 et 1872, Pasteur a énoncé trois postulats de base erronés qui servent encore aujourd’hui de fondement à la vaccination.

Le premier estimait que l’asepsie règne dans nos cellules : la cellule est propre, tous les microbes sont exogènes (c’est-à-dire qu’ils viennent de l’extérieur) et l’attaquent, et ces germes ont une existence indépendante des organismes vivants.

Le second est que chaque maladie correspond à un agent spécifique, microbe ou virus, contre lequel on peut se prémunir grâce à un vaccin.

Enfin, l’immunité s’obtient par la production d’anticorps en réaction à l’introduction d’antigènes contenus dans le vaccin et ces anticorps confèrent une protection.

Nous savons depuis longtemps que ces postulats sont faux, les découvertes en immunologie les contredisent totalement, mais les vaccinalistes font mine d’ignorer ces travaux.



MENSONGE N° 2 : Il faut ERADIQUER LES microbes et LES virus

"Il est étrange que la science qui jadis semblait inoffensive, se soit transformée en un cauchemar qui fait trembler tout le monde." (Albert Einstein)

Nous vivons en symbiose avec les microbes et si nous les considérons comme nos ennemis, nous entrons dans une logique de guerre qui met en péril notre système immunitaire.

Les bactéries maintiennent notre équilibre biologique et ne deviennent pathogènes que lors que notre système immunitaire est perturbé et ne remplit pas ses fonctions. Quant aux virus, ils se reproduisent uniquement à partir de leur matériel génétique et ne sont que des parasites des cellules.

Notre corps peut abriter de nombreux virus sans que nous ne soyons malades.


Il est donc essentiel de comprendre que les microbes et les virus ne sont pas des ennemis qu’il faut éradiquer à tout prix et que seul importe le terrain que nous devons préserver de ses véritables agresseurs.

A la naissance, le système immunitaire n’est pas encore complètement élaboré et, pendant les premiers mois, le nourrisson est protégé par les anticorps transmis par sa mère. Cette immunité héritée est remplacée par une immunité personnelle au fur et à mesure que l’enfant rencontre des germes, microbes ou virus, particulièrement grâce aux maladies infantiles.

C’est pour cette raison que les vaccinations apparaissent comme des éléments perturbateurs incontrôlables.

Le Pr J. Tissot, professeur de physiologie générale au Muséum d’histoire naturelle, nous mettait déjà en garde bien avant l’overdose vaccinale actuelle : «L’immunité par vaccination ne s’acquiert qu’en conférant à l’individu la phase chronique de la maladie qu’on veut précisément éviter, phase chronique qui comporte, dans un avenir proche ou très éloigné, de redoutables complications». Pr J. Tissot (Constitution des organismes animaux et végétaux, causes des maladies qui les éloignent).

De toute manière, les vaccinations ne procurent pas la même immunité que les maladies et les taux d’anticorps évalués après les vaccinations sont généralement inférieurs à ceux qui sont évalués après les maladies.

De plus, l’immunité conférée par la maladie est définitive, ce qui n’est pas le cas pour la vaccination, dont la protection, si protection il y a, est limitée dans le temps, ce qui entraîne un retard dans la survenue des maladies, lesquelles sont beaucoup plus graves chez la population plus âgée, avec une mortalité multipliée par dix.



MENSONGES N° 3 : Les EPIDEMIES ont disparu GRÂCE aux vaccins

"L’opinion actuelle se maintient par la presse, la propagande et les moyens financiers mis à sa disposition". (Dr Albert Schweitzer)

Nombreux sont ceux qui estiment que la plupart des épidémies ont disparu grâce aux vaccinations et qui refusent de mettre en doute leur efficacité. Pourtant, certaines épidémies qui ont ravagé nos pays ont bel et bien disparu sans aucun vaccin, ce que les partisans des vaccins font mine d’ignorer.

Mais lorsqu’on montre les courbes de décroissance des maladies, elles débutent au moment des campagnes de vaccination et non des années ou des siècles plus tôt, ce qui nous permettrait de constater que la diminution de ces maladies a commencé bien avant l’introduction du vaccin. D’ailleurs, la plupart des médecins l’ignorent, et les partisans de la vaccination s’appuient sur ces statistiques, pour la plupart tronquées et donc inexactes, pour «prouver» l’efficacité des vaccins, quand ils ne se bornent pas à la seule affirmation péremptoire que n’étaye aucune sorte de démonstration.

Ils ne se demandent jamais pourquoi ces épidémies ne continuent pas de sévir dans les pays qui n’ont pas pratiqué les vaccinations ou qui les ont abandonnées, tout comme ils semblent ignorer que l’épidémiologie et la presse scientifique internationale attestent que des épidémies se déclarent encore dans les pays où la couverture vaccinale est presque totale.

Les immunologistes s’interrogent sur les poussées épidémiques qui surviennent dans les populations vaccinées contre la rougeole, la polio, la tuberculose, la diphtérie et la coqueluche.

Ce constat est évidemment embarrassant pour eux car, à l’évidence, il s’agit d’une faillite de la vaccination.

Dans Médecine praticienne (N°467), le Pr Lépine constatait à son tour : "Dans plusieurs pays en voie de développement, on s’était imaginé qu’avec une seule campagne de vaccinations, on arriverait à résoudre le problème. Or, dans plusieurs de ces pays, la fréquence de ces maladies a augmenté, allant même jusqu’à quintupler depuis la vaccination".



MENSONGE N° 4 : Vacciner un enfant c’est le PROTEGER


"S’il n’y avait que les vrais malades à soigner, la médecine serait en situation économiquement difficile. Il faut donc convaincre l’ensemble de la population qu’elle est potentiellement malade et vendre des médicaments à ceux qui n’en ont pas besoin". (Pr Didier SICARD chef du service interne à l’hôpital Cochin, président du Comité national consultatif d'éthique)


Un enfant de parents en bonne santé naît avec un potentiel remarquable et développe progressivement son immunité. Il est parfaitement capable d’affronter l’épreuve des maladies infantiles qu’il ne faut pas redouter autant qu’on le prétend. Les parents anxieux pensent que les vaccinations sont une panacée et qu’elles éviteront les maladies de leurs enfants.

Les vaccinations affaiblissent considérablement le terrain. Les maladies aiguës, incapables de s’exprimer, peuvent se développer de façon larvée, insidieuse, faisant le lit de maladies chroniques souvent graves et inguérissables.


Il ne faut donc pas redouter les maladies infantiles, rester serein, et aider l’enfant à surmonter cette légère épreuve.

Comme le disait déjà Hippocrate : "Le corps fait une maladie pour se guérir".


Il est évident qu’il faut surveiller l’évolution des maladies infantiles afin de ne pas commettre d’imprudences qui pourraient entraîner des complications chez les enfants fragiles ou prédisposés à certaines pathologies. Paradoxalement, ce sont ces enfants qui manifestent les effets secondaires les plus graves après la vaccination.

Les vaccins empêchent parfois l’éclosion des maladies pour lesquelles ils sont prévus, mais ils facilitent l’émergence d’autres maladies, car le terrain est affaibli et se laisse assaillir par des germes qui prolifèrent et deviennent virulents.

Les vaccins de routine effectués dans l’enfance grèvent le patrimoine héréditaire et l’empêchent d’apporter une protection efficace à l’individu pendant toute sa vie.



MENSONGE N° 5 : Les accidents VACCINAUX sont exceptionnels

"Le seul vaccin sûr est un vaccin qui n’est jamais utilisé". (Dr James A. Shannon, membre du National Institute of health)

Ce mensonge est monumental. Aucun vaccin n’est jamais sûr à 100%, personne n’oserait prétendre le contraire. Cependant, en France, chaque fois que le Ministère de la santé est attaqué dans le cadre des accidents vaccinaux, il oppose l’absence de lien direct entre la vaccination et l’accident, parlant de simples "coïncidences".

Comme il est très difficile de démontrer un lien de cause à effet, surtout quand la mauvaise foi s’en mêle, cette complexité aboutit à faire porter aux victimes tout le fardeau de la preuve.

Ainsi les autorités se refusent-elles à enregistrer comme "réactions vaccinales" les accidents malheureux qu’on présume être le fruit du hasard. Faute de preuves juridiquement défendables, nombre de complications vaccinales ne sont pas rapportées officiellement. Il serait plus logique et plus moral que ce soit les laboratoires qui apportent la preuve que leurs substances ne sont pas dangereuses. Mais cela semble impossible étant donné les falsifications, de plus en plus reconnues de leurs essais sur leurs produits.

Nos voisins de la CEE sont beaucoup plus honnêtes dans leur déclaration d’accidents. Aux Etats-unis, depuis 1990, la loi oblige tous les médecins à déclarer les complications vaccinales. Aussi, de 1991 à 1996, on a officiellement enregistré 48743 complications vaccinales...

Alors qu’en France, nos pouvoirs publics clament sur tous les toits que les vaccins ne génèrent pas d’accidents secondaires, surtout chez les enfants.



MENSONGE N° 6 : Le vaccin contre le TETANOS est indispensable

"Quand on a décidé d’être aveugle, l’évidence cesse d’avoir cours" (A.Peyrefitte, l’Empire immobile)

Le tétanos n’est pas contagieux, il ne se transmet pas par contact d’individu à individu et- mention particulière – la maladie n’est pas immunisante. Dans son ouvrage La catastrophe des vaccinations obligatoires, le PR J. Tissot, qui n’était pas un gourou de secte, mais un authentique savant comme il y en avait autrefois, posait la bonne question : "puisqu’un malade guéri du tétanos n’est jamais immunisé contre une seconde atteinte, comment un vaccin pourrait-il mieux protéger de la maladie"?

Le tétanos reste aujourd’hui une maladie grave, mais rare. Environ 50% des malades guérissent spontanément.

On estime que toute plaie, si minime soit-elle, expose au risque du tétanos, ce qui est faux. Il existe, en revanche, des tétanos en l’absence de plaie. Quant au tétanos néonatal, qui atteint le nouveau-né essentiellement dans les pays pauvres, il est dû au manque d’hygiène ombilicale à la naissance.

Il faut donc relativiser les choses et ne pas céder à la panique soigneusement entretenue par ceux qui encouragent la consommation vaccinale. Pourquoi vacciner systématiquement tous les enfants contre une maladie qu’ils ne rencontreront sans doute jamais ? Sous nos latitudes, les enfants n’ont pas de tétanos, alors pourquoi tous les vacciner ?

En matière de prévention, après une blessure, on avait coutume d’administrer de façon préventive du sérum antitétanique, afin de conférer une immunité passive.
Cette pratique est tombée en désuétude en raison de son inefficacité et de ses graves inconvénients, dont on ne parlait guère avant son abandon.


Aujourd’hui, quoi qu’il en soit, on impose systématiquement le vaccin en cas d’hospitalisation pour blessure.

Le tétanos n’est pas une maladie contagieuse susceptible de provoquer des épidémies, il est très difficile d’établir des courbes significatives d’évolution.


Ce sont les pays où la vaccination est le moins pratiquée qui présentent le moins de cas de tétanos. Il se trouve que la France détient le record de cas de tétanos après le Portugal, les deux seuls pays d’Europe où cette vaccination est obligatoire.

Pour qu’il y ait tétanos, il faut absolument que ces spores se retrouvent dans un tissu en anaérobiose. La multiplication bactérienne du tétanos ne peut se faire dans des tissus sains normalement oxygénés, car la présence d’oxygène dans les tissus vascularisés entraîne instantanément la mort des bactéries. Il est donc impossible de trouver le bacille du tétanos dans les tissus normaux, bien irrigués.
C’est pour cette raison que la plupart des piqûres ou blessures septiques n’entraînent pas la maladie. C’est pour cela aussi que le tétanos menace davantage les gens âgés, car leurs tissus sont parfois mal vascularisés, nécrosés, atteints de phlébite et de mauvaise circulation.

La vaccination antitétanique est dirigée contre la toxine secrétée par le bacille, mais pas contre le microbe.

Le Dr Méric précise : "Le système immunitaire se trouve entièrement dans la circulation sanguine, dans le sang. Aussi bien, les cellules qui forment les anticorps que les anticorps eux-mêmes appartiennent à ce monde aérobie.


Tout le langage du système immunitaire appartient à ce monde aérobie. Le transport des anticorps se fait entièrement et uniquement dans la circulation sanguine et lymphatique, c’est-à-dire en aérobiose. Les plaies tétanigènes sont nécessairement et obligatoirement anaérobies donc les microbes et la toxine du tétanos et les anticorps antitoxines ne peuvent se rencontrer".

D’après lui, il est absolument impossible que les anticorps rencontrent le bacille ou sa toxine, ce qui semble imparable.

De la sorte, le vaccin contre le tétanos n’est pas du tout efficace, mais il peut toutefois être responsable de sérieux et nombreux désordres post-vaccinaux.


Les traitements non officiels reposent sur le chlorure de magnésium dont on connaît l’efficacité dans les états infectieux (diphtérie, tétanos, polio) grâce aux travaux du Dr Neveu, élève du PR Delbet. Le Dr Neveu avait rédigé un rapport sur les guérisons qu’il avait obtenues chez des personnes atteintes de diphtérie et le Pr Delbet voulut présenter ce rapport à l’Académie de Médecine, mais il se heurta à une opposition farouche de la part du corps médical.

Dans une lettre au Dr Neveu, en date du 16 novembre 1944, il révélait : "La publication de ma communication du 20 juin est définitivement refusée. Le Conseil de l’Académie a trouvé après 6 mois de réflexion, l’argument suivant : en faisant connaître un nouveau traitement de la diphtérie, on empêcherait les vaccinations et l’intérêt général est de généraliser ces vaccinations".

Voilà un exemple flagrant de mensonge par omission : les chercheurs indépendants qui trouvent des solutions efficaces et peu coûteuses, mais qui s’écartent de la voie autorisée, sont condamnés au silence.

Il ressort de ce rapport que l’Académie de Médecine a décidé délibérément d’étouffer un traitement qui aurait pu sauver des milliers de vie, mais qui aurait risqué de concurrencer les vaccins. Voilà qui donne une idée des puissants intérêts qui dictent sa conduite à l’Académie.



MENSONGE N° 7 : EVITEZ la grippe en vous faisant vacciner


"L’opinion actuelle se maintient par la presse, la propagande et les moyens financiers mis à sa disposition" (Dr Albert Schweitzer).

Chaque année à l’automne, les médias payés par l’industrie pharmaceutique lancent des campagnes publicitaires pour inciter les personnes âgées à se faire vacciner contre la grippe. Et pour mieux attirer le consommateur, ils prétendent que c’est gratuit. Voilà déjà un premier mensonge, car tout le monde sait que rien ou presque n’est gratuit ici-bas, et que les laboratoires ne sont pas des mécènes. Les vaccins «gratuits» sont évidemment payés par les usagers sous forme de prélèvements de la Sécurité Sociale.

Mais tout cela ne serait pas trop grave si ce vaccin était efficace.
En 1993, la Caisse d’Assurance Maladie de Loire-Atlantique a voulu étendre le bénéfice de la vaccination gratuite à 43000 assurés sexagénaires, et dû arrêter l’expérience en constatant qu’à cet âge les vaccinés consultaient plus et dépensaient plus que les non-vaccinés. Et le journal Libération du 11 octobre 1994 titrait : "Les vaccinés contre la grippe coûtent plus cher à la Sécu".

L’article précisait : "Les vaccinés consomment plus de médicaments que les non-vaccinés. En novembre et décembre 1993, ils ont dépensé 23% de plus que les non-vaccinés (en consultation, visites, pharmacie). Quant à l’efficacité du vaccin, elle reste difficile à évaluer."

D’ailleurs, très peu de médecins sont vaccinés contre la grippe. Ils sont bien placés pour savoir que ce vaccin est inutile.

Le Dr Anthony Morris, virologiste et ancien chef du contrôle des vaccins qui travaille avec la FDA, est catégorique : "Il n’existe aucune preuve que le vaccin contre la grippe soit utile. Ses fabricants savent bien qu’il ne sert à rien, mais continuent néanmoins à le vendre."

Non seulement ce vaccin protège peu ou pas du tout, mais les mises en garde provenant de médecins ou de revues médicales réputées sont très nombreuses.


D’ailleurs, on recommande de faire au préalable un test cutané en milieu hospitalier sous surveillance, à proximité d’une unité de soins intensifs, avec de l’adrénaline à portée de main et un personnel médical et paramédical entraîné, ce qui n’est jamais fait, mais prouve la dangerosité du vaccin.


Parmi ses nombreux effets secondaires, il faut citer des péricardites aiguës, des problèmes cardiaques (infarctus), et des pathologies neurologiques : encéphalites, myélopathie, occlusion de la veine centrale de la rétine, paraplégie, radiculite, et la liste est loin d’être exhaustive.

Les recherches du Dr Hugh Fudenberg, fameux immunologiste américain, l’ont amené à établir un lien entre les vaccinations régulières contre la grippe et un risque croissant de la maladie d’Alzheimer.


MENSONGE N° 8 : L’HEPATITE B est TRES dangereuse et s’attrape par la salive


"L’ignorance est la mère de tous les maux" (Rabelais)

C’est par un mensonge, qu’a été lancée la campagne éhontée en faveur de la vaccination contre l’hépatite B, dont la publicité a dépassé de très loin les arguments utilisés pour vendre du Coca-Cola.

Ce fut le premier mensonge, mais pas le dernier, loin de là ! Dès lors, les mensonges se sont succédés à une cadence rarement égalée auparavant dans le domaine de la santé.

Ainsi, Philippe Douste-Blazy, alors ministre de la Santé du gouvernement Balladur, n’a pas hésité à avancer les chiffres les plus farfelus, sans aucune base scientifique, mais qui avaient évidemment été soufflés par les marchands de vaccins : « L’hépatite B ce sont 40000 contaminations par an, touchant principalement les jeunes », osa t-il affirmer à Libération le 4 septembre 1994. Pouvait-il ignorer que les estimations officielles (Réseau National de la santé) se situaient autour de 8000 ?

Le Dr Christian Spitz, pédiatre et psychologue chargé de "l’information", n’a pas hésité à affirmer que 4 milliards d’individus étaient touchés par le virus. L’esprit critique aurait à ce point déserté la France ? Ce chiffre qui représente 70% de la population mondiale, devait effectivement affoler tout le monde, jeunes et vieux ! Cependant, personne n’a semblé relever l’énormité du mensonge, pas une seule voix ne s’est élevée pour protester officiellement. "Plus c’est gros plus ça passe", selon le dicton !

On peut aussi juger de la qualité des informations données aux adolescents en prenant connaissance d’une note interne, lumineuse, du laboratoire Pasteur-Mérieux : "Sur le marché de la vaccination, les adolescents sont un segment très porteur… Il faut dramatiser… faire peur avec la maladie".


A lui seul, cet aveu aurait dû provoquer une remise en question du vaccin, puisque la « nécessité de vacciner » a été basée sur ces informations qui relèvent de la publicité mensongère.

Et c’est le laboratoire Pasteur-Mérieux MSD qui s’est chargé d’informer les médecins généralistes, avec toute l’objectivité qu’on peut attendre de quelqu’un qui est juge et partie. Dans cet élan, le laboratoire n’a pas hésité à éditer une plaquette affirmant : "la salive est un important vecteur de la contamination".


Avec la bénédiction du ministre de la Santé, les laboratoires Smithkline Beecham se sont alors introduits au sein des établissements scolaires pour y imposer, par la peur, un vaccin non obligatoire, mais que chacun croyait tel... Car aucun des tracts n’a jamais mentionné que la vaccination était seulement conseillée et non obligatoire.

En fait, cette OPA a été une parfaite réussite puisqu’au cours de l’année 1995, on a vacciné autant de personnes que pendant les quatorze années précédentes.


Avant toute campagne de vaccination, la fréquence de l’hépatite B était déjà réduite de 90%, principalement grâce au retrait des lots de sang contaminé. Et de cela, on s’est bien gardé de parler durant la campagne.


Dans un de ses dépliants, le laboratoire SBK n’hésitait pas à écrire : "l’hépatite B tue plus de personnes en un jour que le sida en un an" ! Ce mensonge a été imprimé et distribué à des centaines de milliers d’exemplaires dans les collèges et les lycées.

Le Dr Bruno Donatini a mené une étude sur l’hépatite B . Ses estimations sont bien différentes de celles diffusées par les laboratoires et répétées par les organismes publics.

Le Dr Donatini estime que le risque d’hépatite grave chez un sujet français "normal" est de l’ordre de 1 pour 50 millions alors que le risque d’accident grave est très élevé. Mais cela, personne ne l’a jamais dit officiellement. Et personne, non plus, n’a jamais avoué que le nombre de victime de la maladie est bien loin d’atteindre celui des méfaits de l’alcool, mais il n’existe pas de vaccins contre l’alcoolisme, aussi en parle-t-on moins.

Soyons sérieux. Etant donné que l’incidence de la maladie avait diminué de façon spectaculaire bien avant la vaccination (douze fois moins de cas en 1992 qu’en 1978), on ne peut que s’inquiéter d’apprendre que les chiffres pour l’hépatite B ont doublé en dix ans. Dans ce cas, il faut surtout éviter de continuer à vacciner qui que ce soit .



MENSONGE N° 9 : Il n’existe aucun lien entre le vaccin contre l’HEPATITE B et la SCLEROSE en plaques

"Les médecins apprennent à nos risques et périls. Ils expérimentent et tuent avec une impunité souveraine et le médecin est le seul qui puisse donner la mort." Pline l’ancien,Histoire naturelle)


Ce leitmotiv qu’il n’existe aucun lien entre ce vaccin et la sclérose en plaques est le principal argument des fanatiques du vaccin, mais, outre cette redoutable maladie, les accidents couvrent un éventail d’une soixantaine d’autres pathologies. Bien avant cette campagne mensongère, la liste des complications signalées était déjà impressionnante : poussées de sclérose en plaques, syndromes de Guillain-Barré, névrites optiques, paralysies faciales, myélites aiguës, lupus érythémateux, polyarthrites, péricardites, uvéites postérieures, urticaire, érythème polymorphe, lichen plan et bien d’autres.

En 1994, le Lancet (Vol.344) avait dénoncé : «La vaccination contre l’hépatite B a été associée à une exacerbation ou même un déclenchement de maladies auto-immunes telles que des scléroses multiples ou des syndromes de Guillain-Barré ». Ainsi, contrairement à ce qu’on prétend, les problèmes liés à la toxicité de la vaccination contre l’hépatite B ne sont pas réservés à la France ?

Le Dr Laurent Hervieux résumait clairement la situation dans le N° spécial de l’Impatient de mai 1997 consacré aux hépatites : "Le vaccin contre l’hépatite est composé d’un antigène HBS dont la structure est partiellement commune avec la myéline qui entoure les nerfs. Les anticorps fabriqués par l’organisme arrivent à confondre les deux et à attaquer la myéline, d’où les complications neurologiques enregistrées avec cette vaccination."

L’expert, le Dr Marc Girard, a découvert un rapport de la direction générale de la Santé (DGS), du 15 février 2002, selon lequel ces vaccins auraient produit «la plus grande série d’effets indésirables recueillis en pharmacovigilance depuis sa naissance en 1974 », alors que tous nos responsables de la santé persistent à affirmer qu’il n’y en a pratiquement pas. Dans la littérature internationale, on note également une multiplication récente des articles sur la sclérose en plaques chez l’enfant, maladie exceptionnelle auparavant. Ce risque vaccinal chez l’enfant a également été confirmé par un article publié en 2001 dans les Annales épidémiologiques.

A la suite de ces parutions, les laboratoires ont réagi car, en 2003, les journaux français ont annoncé que des études indépendantes avaient totalement innocenté le vaccin. En vérité, ces deux études, réputées « indépendantes » furent initiées et en partie financées par les fabricants de vaccins, la première par Aventis-Pasteur, et la seconde par Merck qui est, par hasard, associé de Pasteur-Mérieux.
Les marchands de vaccins avec nos instances de santé, n’hésitent pas à proclamer que les accidents survenus après la vaccination relèvent de la pure coïncidence et que les liens que les malades cherchent à établir n’ont aucun fondement scientifique.

En outre, ils continuent à claironner qu’il n’existe « aucun accident » chez les enfants de moins de six ans, alors qu’il n’y a aucune raison pour que le pourcentage de mortalité après ce vaccin, pour cette tranche d’âge, soit en France inférieur à celui des Etats-unis. D’ailleurs le Revahb possède plusieurs dossiers concernant des accidents survenus chez des nourrissons, d’autres associations en détiennent également.




MENSONGE N°10 : L’autisme n’a aucun rapport avec les vaccinations

"Lorsque nous laissons au gouvernement le pouvoir de prendre des décisions médicales à notre place, nous acceptons tacitement que l’Etat soit le propriétaire de notre corps" (Dr Ron Paul, Sénateur américain)

L’autisme se manifeste en général au cours des trois premières années, période pendant laquelle les enfants subissent de nombreuses vaccinations. Serait-ce un des curieux "hasards" qui jalonnent le parcours des vaccins ?

Les cas d’autisme se sont multipliés depuis une trentaine d’années.

Alors qu’aux Etats-Unis on avait détecté seulement une poignée de cas les années quarante, vingt ans plus tard, après la généralisation du vaccin diphtérie-Tétanos-coqueluche et l’arrivée du vaccin contre la rougeole, les consultations pour des cas d’autisme devinrent de plus en plus fréquente, et elles ont décuplé avec l’introduction du ROR et du vaccin anti-hépatite B. A présent les scientifiques sont très inquiets.

S’agit-il d’une simple coïncidence, qu’avant l’introduction de ces vaccins, il y a eu si peu de cas et qu’ils se soient multiplié plus de dix fois depuis la vaccination ?

Comment se fait-il qu’on ne cherche pas à approfondir les études sur ces coïncidences temporelles ?

Comment se fait-il que les pouvoirs discréditent toute étude sérieuse mettant en cause la toxicité des vaccins alors qu’ils tiennent compte et plébiscitent certaines études simplistes et non rigoureuses pour les promouvoir ?

Pourquoi les accidents relèvent-ils toujours de coïncidence ?

Pouvoirs publics, médecins, et médias persistent à répéter la même rengaine : «Le vaccin reste la meilleure protection contre la maladie et cette maladie est fréquente et parfois mortelle », alors que les rougeoles sont rarissimes et parfaitement bénignes en Europe, dans les familles qui nourrissent correctement leur enfant.

Les mensonges que nous dénonçons concernent tous les pays de la planète. Ainsi, lorsque débutèrent les premières vaccinations ROR au Japon, le Ministère de la santé signala les effets indésirables dans un cas sur 200 000. Quelques années plus tard, ayant « révisé » les chiffres, le même ministère annonçait un accident pour 3000 vaccinés. Les statistiques ayant été à nouveau "révisées", il fut reconnu un accident pour 1 300 vaccinés, chiffre étrangement différent de ceux précédemment publiés.

Mais en France, nous n’avons aucun problème avec le ROR et l’on continue à administrer ce vaccin et à l’exiger pour l’admission en crèche.
Dans le domaine du mensonge, nos «experts » restent imbattables ! leurs discours insultent l’intelligence et s’apparente à un faux témoignage.
Quand demandera-t-on des comptes à ces spécialistes en rappelant leurs responsabilités ? demande le Professeur Jacques Testart, biologiste réputé.




POUR CONCLURE


"Ce n’est pas le rôle du gouvernement d’empêcher le citoyen de tomber dans l’erreur ; c’est le rôle du citoyen d’empêcher le gouvernement de tomber dans l’erreur" (Robert Houghwout Jackson, Président du Tribunal de Nuremberg, 1945)


Le dogmatisme médical pourrait être comparé aux pratiques de l’Inquisition qui brûlait tout ce qui dépassait son entendement ou risquait de mettre en péril l’hégémonie de l’Eglise Catholique.

Dans notre pays où Voltaire et Diderot ont théoriquement détrôné la superstition et le fanatisme, la sagesse n’est guère de mise et les lavages de cerveau qui vont bon train causent des dégâts irréparables. Il serait grand temps de nous réveiller et de secouer le joug des idées reçues. Il serait grand temps de penser par nous-mêmes, au lieu de laisser aux « experts » le soin de le faire à notre place.

Devant la puissance financière des laboratoires, leur mainmise sur la politique de santé, sommes-nous condamnés à développer une certaine désobéissance civique ? Refusant aux Pouvoirs Publics le droit de nous imposer ces vaccins inutiles et dangereux au nom de la solidarité publique. Pourquoi ne pas utiliser cette arme que n’apprécient ni les fabricants de vaccins, ni les gouvernements, en attendant qu’une évolution législative respectueuse des droits de l’homme et de la liberté des citoyens s’instaure ?

Pour mieux désobéir et résister, il est prudent d’adhérer à des associations de consommateurs de santé, puisqu’il est bien connu que l’union fait la force.




BIBLIOGRAPHIE

Livres sur la vaccination qui ont pour auteur Sylvie SIMON

Vaccinations l’overdose Editeur déjà 1999


Déjà vacciné, comment s’en sortir ? (avec le Dr André BANOS) Déjà 2000


Faut-il avoir peur des vaccinations (ouvrage collectif) Déjà 2000


Vaccin hépatite B, les coulisses d’un scandale (avec le Dr Marc VERCOUTERE) MARCO PIETEUR 2001


Les 10 plus gros mensonges sur les vaccins DANGLES 2005 (3ème livre d’une collection « les 10 plus gros mensonges »)



Livres sur la santé


Le réveil de la conscience avec Jacqueline BOUSQUET – Editeur TREDANIEL 2003


Information et désinformation – TREDANIEL 2004


La dictature médico -scientifique – FILIPACCHI – 1997


Exercices illégal de la guérison – MARCO PIETTEUR – 2202



Autres livres sur les vaccinations Vaccinations, les vérités indésirables – Michel Georget DANGLES – 2000


Vaccinations, erreurs médicales du siècle – Dr Louis de Brouwer Louise Courteau – 1997


Le dossier noir du vaccin contre l’hépatite B – Lucienne Foucras Editions du Rocher – 2004


Vaccination, la grande illusion Bickel (s’adresser à René Bickel, 116 rue de Mittelwihr 68150 OSTHEIM – Tél/Fax : 03 89 47 83 06


Pour en finir avec Pasteur – Dr Eric ANCELET – Marco Pietteur – 1998


Constitution des organismes animaux et végétaux, causes des maladies qui les atteignent – 3 vol. Pr. J. TISSOT – Laboratoire de physiologie générale – PARIS

Dr CHAUFFAT François, vaccinations : le Droit de choisir – Jouvence 2001
Dr COUZIGOU Yves, la longue traque de la variole – Perrin 1986

Source : http://www.sylviesimonrevelations.com/article-les-10-plus-gros-mensonges-sur-la-vaccination-60832676.html

Docteur Tal Schaller - vaccins

Le Crime Vaccinal

Le crime vaccinal !

Le dernier ouvrage de Michel Dogna et Anne Françoise L’Hôte

Un pavé dans la mare des omertas


Pasteur, référence du dogme vaccinal

Non "le bon docteur Louis Pasteur" que nous avons tous trouvé dans nos livres scolaires comme étant le sauveur de millions petits enfants, n’est pas celui que l’on nous a présenté. Pour des raisons politiques, culturelles ou affairistes, l’histoire a souvent abusé de la crédulité confiante et perméable des enfants ; lorsque plus tard ils deviennent parents, ils transmettent en toute bonne conscience leur formatage dans la tête de leurs progénitures.
C’est ainsi que de multiples grands mensonges ont pu de générations en générations traverser des siècles, les quelques troublions sceptiques étant toujours jetés aux ordures ou punis. De fait, il est clair que relativement peu d’individus arrivent à s’extirper de l’éducation et coutumes de leur enfance. Heureusement, il y a  de nos jours (grâce surtout à Internet) de plus en plus de dérangeurs de la pensée collective qui mènent des enquêtes indiscrètes les autorisant à jeter des pavés dans la mare des grands mensonges…

Mais revenons à notre "bon docteur Pasteur" - D’abord, Pasteur n’était pas médecin mais chimiste – il n’a jamais soigné des malades, mais seulement effectué des expérimentations sur des malades… et aussi des bien portants.
Mieux ces expérimentations n’ont la plupart du temps abouti à rien, sauf celles qu’il a volées à de vrais chercheurs discrets tels Toussant, Davaine, Galtier, Dubouet, Roux, et surtout Béchamp, pour les reprendre à son nom après les avoir traîné dans la boue. L’on devrait remplacer toutes les rues Pasteur par des rues Béchamp - le grand Béchamp, témoins gênant des incessantes erreurs de Pasteur.
Mais Louis Pasteur était un remarquable tribun capable de confondre publiquement tous ses adversaires, sans compter son tempérament colérique bien connu et ses hautes relations qui le faisaient redouter.

Le dilemme entre deux sources historiques

La première, seule officielle que l’on nous a servi à l’école est l’autobiographie que Pasteur a fait de lui-même, rédigée par son gendre Valléry Ragot, se présentant comme un héros ainsi qu’il savait si bien faire devant l’académie des sciences où il attribuait toujours ses erreurs passées à ses adversaires, après s’être approprié leurs idées et leurs découvertes.

La seconde, c’est Jean Rostand qui, ayant eu en mains une partie des œuvres de Davaine en 1948, eut l’initiative "audacieuse" de remettre en question la paternité légendaire de Pasteur sur l’origine microbienne des maladies infectieuses (voir Hommes de vérité, 2ème série). Aussi confia-t-il à un jeune zoologiste passionné d’histoire des sciences, nommé Jean Théodoridès, la mission d’approfondir l’œuvre de Davaine. Ce passionnant travail amena Théodoridès à entrer en contact avec un excellent historien des sciences, médecin retraité dans le Limousin, le Dr Léon Delhoume. Celui-ci avait rédigé trois volumes importants sur les vies de Dupuytren, Cruveilhier, d’Arsonval, mais surtout sur les œuvres inédites de Claude Bernard, d’une remarquable érudition.

Sur la base de quels documents Delhoume avait-il travaillé ? D’Arsonval avait été le dernier assistant de Claude Bernard. Celui-ci, victime à 65 ans d’une maladie aiguë mortelle, consterné de ne pouvoir finir son œuvre, confia avant de mourir à ses intimes : "Pasteur s’est trompé". Puis il missionna D’Arsonval, alors âgé de 26 ans, pour faire publier ses travaux, hélas inachevés. Très impressionné, D’Arsonval préféra déléguer le grand chimiste Berthelot qui, derechef, fit effectuer une publication à l’Académie des sciences. Mais Pasteur entra dans une fureur démente, et le jeune D’Arsonval, effrayé, n’osa plus jamais rien communiquer. C’est ce qui explique la rétention de 50 années du dossier Claude Bernard, jusqu’à ce que D’Arsonval se décide enfin à le communiquer au Dr Delhoume, historien.

Philippe Decourt, membre de l’Académie internationale d’histoire de la médecine, et ami de Théodoridès, rendait régulièrement visite au Dr Delhoume. C’est ainsi qu’un jour, il se vit remettre en mains propres par le docteur un ouvrage intitulé : "Béchamp ou Pasteur ?" avec, en sous-titre : "Un chapitre perdu de l’histoire de la biologie". Delhoume lui confia : "Je suis maintenant trop vieux. Vous devriez voir cela de plus près." Ce livre avait été rédigé par une Anglaise, sur les notes d’un médecin américain, ami personnel de Béchamp, puis traduit en français en 1948 aux Éditions Le François.

Philippe Decourt écrira ensuite : "Ce que je constatais à la lecture des documents me stupéfia. Ma stupéfaction augmenta encore quand j’étudiai peu à peu les autres découvertes que l’on attribue à Pasteur. La réalité est tout à fait différente de la légende. On avait créé un mythe que l’on répétait sans rien vérifier. Nous étions victimes d’une immense supercherie."

Exemples de faits précis

¤   La très célèbre expérience de Pouilly-le-fort où 60 moutons furent infestés par un bouillon charbonneux après avoir reçu le nouveau vaccin de Pasteur, ne fut un succès total que par l’intervention discrète de ses assistants Roux et Chamberland qui avaient rajouté au vaccin du bichromate de potassium selon la méthode de Toussant. Les italiens qui voulurent reproduire l’expérience essuyèrent une hécatombe. Pasteur se contenta de leur dire qu’ils n’avaient pas respecté ses consignes.

¤   L’imposture du vaccin de la rage

Le cas de Joseph Meister, garçon de 9 ans mordu par un chien méchant a reçu le vaccin expérimental de pasteur – le chien fut abattu et déclaré enragé. Le garçon n’eut aucune séquelle ce qui fut l’objet d’une grande publicité, sauf que selon le Dr De Brouwer l’on n’a pas dit que cinq personnes avaient été précédemment mordues par ce même animal et n’ont présenté aucun problème (sans le vaccin) – le chien n’était donc pas enragé !

Le cas Jupille mordu par un chien dit enragé le 20 octobre 1885 qui reçut le vaccin de Pasteur. Le 27 octobre, Pasteur déclarait sa victoire à l’académie alors qu’il faut attendre 15 jours pour que s’installe l’immunité bactérienne. Quel manque de probité intellectuelle ! Philippe Decourt rapporte :
"Le chien en question était un Berger picard réputé jamais méchant. Et c’est Jupille qui, accompagné de 6 enfants, a attaqué avec un fouet ce chien qui aboyait simplement. Le chien s’est défendu et a mordu Jupille à la main gauche. Jupille, selon les propres mots de Pasteur, se battit ensuite avec le chien, le ligota et le noya (on se demande qui était le plus enragé)."
Les prétendus résultats de la vaccination de Jupille n’ont donc aucune valeur scientifique et il est étonnant de constater que les trois académies se soient laissées aussi facilement abuser devant des faits aussi aléatoires. Toujours est-il que les revues scientifiques à grand tirage, en français et en anglais, répercutèrent le spot publicitaire et que le Tout-Paris délira complètement sur les prouesses médicales de Pasteur. Des milliers de personnes mordues (par des chiens non enragés) affluèrent à l’Institut Pasteur.

¤  Quelques autres impostures en vrac

Une avalanche de découvertes microbiennes  ont pu être réalisées sur les bases des travaux de Davaine et non de Pasteur. Contrairement à ce que l’on croit habituellement, les vaccins actuels n’ont pas été créés à partir des travaux de Pasteur, mais par Toussaint, professeur à l’École vétérinaire de Toulouse.
En l’occurrence, le vaccin atténué du charbon a été volé à Toussaint - le vaccin atténué du cholera des poules, lui aussi, encore volé à Toussaint.
Ses trois méthodes d’atténuation bactérienne d’abord dénigrées par Pasteur et plus tard reprises à son compte, étaient les suivantes :
– chauffage de la matière virulente à 55 °,
– grande dilution,
– action d’un antiseptique (acide phénique ou bichromate de potassium).
(Ces sujets ainsi que beaucoup d’autres sont développés dans "Le crime vaccinal", version e-book aux Editions Irélia : www.irelia-editions.com, version papier ici : www.lesbrossesadents.fr/michel-dogna-crime-vaccinal.html )

Le fait de se tromper régulièrement n’a pas empêché Pasteur de se mettre en avant partout avec un énorme sens de la publicité, et de se faire grassement pensionner par la cour de Napoléon III qu’il courtisait assidûment pour des travaux sur la maladie du ver à soie… qui n’ont en outre jamais abouti. 
Pendant ce temps il n’a jamais cessé de traîner dans la boue le témoin le plus gênant de sa médiocrité, Antoine Béchamp qui malheureusement vaincu a fini sa vie dans la misère et la solitude.
En conclusion selon les paroles de Philippe Decourt, la réalité de Pasteur fut celle d’un chimiste médiocre, mégalomane, arriviste, tricheur, arrogant, menteur, buté, coléreux redouté, voleur d’idées, prêt à toutes les bassesses pour décrocher la gloire – bref un redoutable imposteur qui fut dénommé : "le Staline de la médecine"

Le titre "Crime Vaccinal" est-il exagéré ?

Evidemment, dans l’ambiance générale sous le contrôle de la "police de la pensée", l’on pourrait avoir l’impression de donner dans un blasphème équivalent à cracher sur la bible. Pourtant, combien savent que plus de 40 ouvrages en français et de 200 en anglais dénoncent, certains depuis près d’un siècle, les multiples catastrophes vaccinales dans le monde – ceci à l’appui de statistiques très au-dessous de la réalité puisque l’on compte que seulement 10% des victimes ont fait un rapprochement avec les vaccins reçus.

Connaissez-vous l’histoire réelle de la grippe espagnole de 1918 ?

Elle a été dévoilée par le Dr L. DAY, MD., ex-chirurgien en chef du grand hôpital de San Francisco et professeur en faculté de médecine. Voici ce qu’il raconte :
"Comme la première guerre mondiale n’a pas duré de longues années, les fabricants de vaccins n’ont pas pu vendre toutes leurs nouvelles productions à l’armée. Cherchant essentiellement le profit, ils décidèrent de vendre leurs stocks à la population. C’est ainsi qu’ils ont battu le rappel et lancé la plus grande campagne de vaccinations que les Etats-Unis n’aient jamais connue au cours de leur histoire. Il n’y avait cependant alors aucune épidémie pour justifier ces mesures. Ils ont alors imaginé une stratégie. Leur propagande prétendait que les soldats qui rentraient de l’étranger étaient atteints de toutes sortes de maladies et qu'il était un devoir pour chacun d'entre eux de se faire inoculer tous les vaccins qui étaient alors sur le marché…
La grippe espagnole n’a donc d’espagnole que le nom ; mortelle en 3 jours, elle a fait entre 25 et 35 millions de morts dans le monde. Les premiers cas de l’épidémie ont été détectés en février 1918 dans des camps militaires aux U.S.A en Caroline du Sud, et non pas en Chine - et encore moins en Espagne !"

Aucune guerre n’a fait autant de morts en si peu de temps

Voici quelques rappels sélectionnés dont on ne parle jamais

En 1957, The New York Times a signalé que près de 50% des cas de polio chez des enfants âgés de 5 à 14 ans se produisaient chez des enfants qui avaient été vaccinés contre la polio (!!!).
En 1972, au cours d’une audition devant le Sous Comité du Sénat, l’inventeur du vaccin anti polio, Jonas Salk, devait témoigner que presque toutes les poussées de polio depuis 1961 étaient le résultat ou avaient été  provoquées par le vaccin polio oral (le vaccin qui donne la maladie…).
En 1976, The Lancet a signalé que les vaccins ne protégeaient pas contre la coqueluche et que près d’un tiers des personnes qui avaient fait une coqueluche avaient bel et bien été complètement vaccinées… (l’efficacité avait été scientifiquement prouvée !).
En 1977, la revue Science a signalé que 26% des enfants qui recevaient la vaccination contre la rubéole développaient de l’arthrite. 
1/50 : c’est le taux d’autisme actuellement chez les enfants aux USA; il était de 1 sur 25 000 dans les années 70, de 1 sur 2500 dans les années 80 et de 1 sur 250 dans les années 90. 
49 : c’est le nombre de doses de 14 vaccins que les jeunes Américains ont reçu après avoir atteint l’âge de 6 ans, contre 36 doses de 10 vaccins administrés aux enfants belges jusqu’à leurs 6ème année.
21% : c’est le pourcentage des enfants américains (les plus vaccinés du monde) qui souffrent de handicaps mentaux et neurologiques à des degrés divers et + de 50% d’entre eux souffrent de maladies chroniques !
34.240 : c’est le nombre d’effets secondaires rapportés aux USA avec les vaccins HPV jusque fin mars 2014 dont 162 décès, 11.428 visites aux urgences, 4.732 effets graves et 1.093 jeunes filles handicapées.

Nota : Je parle toujours des USA par la force des choses, puisqu’en France on n’arrive à rien savoir.

Qui connaît la composition réelle des vaccins ?

¤ De l'hydroxyde d'aluminium : 650 microgrammes par vaccin alors qu’il est admis que 60 microgrammes par litre de sang est dangereusement toxique pour la cellule nerveuse (Concours Médical, février 1997). Ce sel attaque le cerveau et peut entraîner autisme, chorée, Alzheimer, Creutzfeldt-Jakob.

¤ Des sels de mercure (thiomersal) dont l’extrême dangerosité neurologique a été officialisée par la FDA américaine depuis 1997. Chaque nouveau vaccin cumule les doses d’une façon irréversible.

¤ Des virus OGM (vaccins viraux) obtenus à partir de matériel génétique séquentiel du SV40, précurseur du HIV, et que l’on retrouve dans de nombreux cancers du cerveau et mésothéliomes.

¤ Du sérum de veau fœtal (liquide nutritif) alors que tout extrait d’origine bovine est strictement interdit dans tout médicament depuis 1994.

¤ De l’enzyme Tdt, dangereux mutagène reconnu.

¤ Du formaldéhyde - interdit dans les jouets….mais autorisé dans les vaccins.

¤ Du borate de sodium (mort aux rats) dans le Gardasil (!!!).

¤ Du Squalène MF 59 responsable du syndrome des soldats US de l’Irak.

Mais il y a aussi des difficilement détectables qui sont :
¤ des nanotechnologies pour programmer le cerveau entre autres.

Nota :
– Le BCG est toujours cultivé sur de la bile de bœuf (méthode Calmette et Guérin) au mépris de toute réglementation et des mesures de précautions actuelles concernant la vache folle.

– La plupart des médecins ne sont aucunement informés de toutes ces infractions graves à la fois légales et sanitaires, le Vidal n’en faisant pas mention.

– Chaque nouveau vaccin intoxique et fragilise un peu plus votre enfant pour toute une vie et peut-être même ses descendants.

– Le scandale de l’hépatite B n’est que l’arbre qui cache la forêt. Il est clair que nous devons refuser toute vaccination sur nos enfants ainsi que sur nous-mêmes tant que les fabricants de vaccins n’auront pas clarifié leur fabrication.

– Enfin, la nouvelle mode des cocktails pentavalents et hexavalents appliqués sur les enfants amène une véritable déflagration au sein du système immunitaire ! C’est catastrophique !

- Selon l'étude KIGGS, on relève 2% d'effets secondaires GRAVES repérés en relation directe avec des vaccins - concrètement, cela signifie que quand on vaccine 40 MILLIONS d’individus, il y a au moins 800 000 effets collatéraux graves... sans compter le reste !

Conclusion

Un certain nombre de pays ne connaissent aucune obligation vaccinale, et c’est justement chez eux que les épidémies ont régressé le plus vite. La sagesse est sans aucun doute  que le meilleur moyen pour échapper aux épidémies est de veiller à entretenir et renforcer nos défenses immunitaires  par des moyens naturels que les plantes nous offrent depuis la nuit des temps, mais que l’on nous a amené à ignorer pour des raisons bassement mercantiles. 

Alors que tous les animaux, même craintifs deviennent agressifs quand ils veillent sur leurs progénitures, il semble qu’une grande partie du genre humain y fasse exception, et semble avoir perdu l’instinct de conservation, laissant la place à la peur qui est très mauvaise conseillère.
L’ignorance n’a plus d’excuse à notre époque, mais elle est pratique pour une majorité, parce qu’elle dispense de la responsabilité.

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Ce que votre vétérinaire ne vous dira pas

Martin Letendre - 2017

 

La vaccination de nos animaux est au centre de nos préoccupations lors des visites chez le vétérinaire.

Par contre, plusieurs d’entre nous (incluant même certains vétérinaires) sommes mal informés sur le sujet. J’ai donc pour but tout au long de cet article de rétablir certains faits et surtout, d’expliquer pourquoi les protocoles de vaccinations actuels sont souvent déficients et ce qui peut être fait en remplacement ou complément de la vaccination pour assurer la protection de votre chien.

La différence entre vaccination et immunisation

Pour commencer, il est important de savoir faire la différence entre vaccination et immunisation.

Lorsqu’un animal est immunisé, cela signifie qu’il est protégé contre la maladie. À ce moment, si l’animal entre en contact avec la maladie, son corps produira les anticorps nécessaires pour détruire la maladie.

La vaccination, quant à elle, concerne seulement le fait de donner le vaccin (l’injection). Dans ce sens, vacciner un animal n’est pas une garantie qu’il sera immunisé, car nous ne savons pas si le vaccin va « pogner ». Plusieurs raisons peuvent faire qu’un vaccin ne créera pas automatiquement l’immunité, nous verrons plus loin pourquoi. Nous pouvons donc affirmer que l’immunisation est le but de la vaccination mais que ce n’est pas un résultat automatique (vaccination  ≠  immunisation).

Si les vétérinaires étaient vraiment intéressés à s’assurer que les animaux sont immunisés (ce qui est le but de la vaccination), ils seraient les premiers à faire la publicité des tests de titrage d’anticorps (titer test en anglais). Vous n’avez jamais entendu parler de ce test? C’est bien là tout le problème (et le but de cet article)!

Au lieu de vérifier si l’animal est immunisé, les vétérinaires préfèrent revacciner chaque année ou aux trois ans, dépendamment de leurs croyances. Tout ça, sans jamais avoir la preuve que la vaccination est : 1) nécessaire et 2) fonctionne sur cet animal.

Pourquoi les vétérinaires vaccinent au lieu de vérifier si l’animal est encore protégé?

Principalement : pour l’argent. Les vaccins sont très payants pour les vétérinaires. La marge de profit sur un vaccin est très élevée: un vaccin vendu $20 leur coûte en réalité moins que quelques dollars. Vacciner moins souvent signifierait donc moins de revenus, alors que la vaccination compte pour une grande part des revenus d’une clinique. Une estimation conservatrice serait d’affirmer qu’environ la moitié des visites de chiens et le ¾ des visites de chats en clinique vétérinaire concernent la vaccination.

Donc en considérant la marge de profit, le nombre de visites reliées à la vaccination et la durée très courte de ces visites, nous pouvons en déduire que la « business » de la vaccination est très lucrative! Je n’irai jamais jusqu’à dire qu’ils sont dans ce milieu pour l’argent ou qu’ils n’ont pas le bien-être des animaux à cœur mais ils ont tout de même une entreprise (local, employés, fournisseurs) à faire vivre. Nous l’oublions trop souvent mais les vétérinaires ne sont pas des missionnaires!

Cela dit, ils ne sont pas les seuls à blâmer. Les vétérinaires s’appuient aussi sur les consignes du fabriquant des vaccins. Par contre, ce que peu de gens savent, c’est que les fabricants testent seulement leurs vaccins pour une très courte durée (quelques mois) puisqu’après tout, ils veulent en vendre! Ce n’est donc aucunement dans leur intérêt de faire des études pour prouver que le vaccin protège l’animal pour 7 ou 9 ans ou même plus…

Finalement, je crois aussi que la formation des vétérinaires en vaccination est biaisée puisqu’elle est faite…par les compagnies pharmaceutiques! Il est donc normal sachant cela que les risques ne leur soient pas tous expliqués en détail et que la majorité des vétérinaires croient qu’il n’y a que du bon à vacciner nos animaux. Après tout, qui forme les médecins au sujet de la vaccination sur les humains? Certainement pas le fabriquant des vaccins!

À la base du problème, il y a un proverbe ancien qui pourrait nous expliquer facilement pourquoi les vétérinaires sont très peu enclins à laisser tomber la sur-vaccination :

« Il est impossible de réveiller quelqu’un qui fait semblant de dormir »

Deux types de vaccins

Il existe deux catégories de vaccins : les vaccins de base (core vaccines en anglais) et les vaccins optionnels (non-core vaccines). Cet article traitera premièrement des vaccins de base qui sont pour protéger des maladies suivantes : distemper (maladie de Carré), parvovirus, adenovirus (hépatite) et rage. Vers la fin du document, nous aborderons également les vaccins optionnels en plus de voir les dangers de chacun.

La différence d’immunisation entre les vaccins de base et les vaccins optionnels

Lorsque vacciné avec succès contre les maladies de base (lire : les maladies importantes), l’animal reçoit ce qu’on appelle une immunité stérile. Cette immunité dure un minimum de 7 à 9 ans et souvent même pour toute sa vie, selon la maladie (distemper, parvovirus ou adenovirus). Cela signifie que l’animal ne pourra pas se faire infecter par la maladie si jamais il la contracte. Pour ce type de vaccin, l’animal est soit protégé ou non protégé. C’est un peu comme pour une femme enceinte : une fois enceinte (même en essayant fort), elle ne pourra pas l’être plus! C’est pareil pour l’animal : une fois protégé, il ne pourra pas l’être plus, même en revaccinant.

Une fois que nous avons la confirmation que l’animal est immunisé, il le sera généralement pour toute sa vie. Il n’est donc aucunement utile de le revacciner pour ces maladies. Au contraire, dans ce cas, la vaccination alors qu’elle n’est pas nécessaire ne fera qu’augmenter la possibilité de problèmes, sans apporter aucune protection supplémentaire. De plus, si l’animal est immunisé pour la vraie maladie, il le sera aussi pour le vaccin, puisque le vaccin est en fait un échantillon de la maladie mais très affaiblie. Ceci occasionnera que le corps, étant immunisé pour la maladie, va détruire le vaccin ce qui rend la revaccination inutile.

En plus simple : revacciner un animal qui est déjà protégé n’augmentera aucunement son niveau de protection. C’est la plus grande erreur que nous faisons en terme de vaccination : nous pensons qu’en revaccinant pour la base (les fameux « rappels » à des intervalles déterminés par votre vétérinaire), on rajoute de la protection dans son corps comme nous pouvons rajouter de l’essence dans une voiture. C’est complètement faux, le corps ne fonctionne pas comme ça! Il est protégé ou il ne l’est pas, c’est tout.

Pour ce qui est des vaccins autres que les vaccins de base (non-core) tels que : bordetella (toux de chenil), influenza, leptospirose, giardia, corona ou lyme, ces vaccins protègent généralement pour environ un an (parfois même beaucoup moins!) et le niveau de protection baisse à mesure que les mois passent. Dans ce cas, oui on pourrait faire un comparatif avec mettre de l’essence dans une voiture : plus on roule (et que le temps passe), moins il reste d’essence. C’est pour cette raison que pour les vaccins optionnels (non-core), oui il faut revacciner sur une base régulière.

C’est donc là la différence majeure entre les vaccins de base (distemper, parvovirus et adenovirus) et les autres. Les vaccins de base protègent pour toute la vie alors que les autres protègent pour un certain temps (souvent très court).

Ces deux types bien différents de vaccins sont aussi présents chez l’humain, par exemple : les vaccins contre la polio, les oreillons, la rubéole et la rougeole protègent pour toute la vie après avoir été donné une fois. Par contre, les vaccins contre le tétanos ou celui pour la grippe durent seulement un certain temps et doivent être redonnés après un certain temps.

Mais pour qui je me prend pour affirmer que les vétérinaires vaccinent trop souvent?

Effectivement, vous serez portés à vous poser cette question et je la comprends parfaitement. Après tout, je ne suis pas vétérinaire et je n’ai pas étudié dans ce domaine. Je suis un propriétaire (je n’aime pas ce mot) de chien, tout comme vous, qui désire ce qui se fait de mieux pour la santé de mon animal.

Je n’ai aucun intérêt financier à y retirer (contrairement aux vétérinaires) et au contraire, il m’en coûte pour l’instant plus cher de prouver que mon chien n’a pas besoin de vaccin que de simplement le vacciner sans me poser de questions. Mais les risques de la sur-vaccination sont bien présents et j’ai décidé de faire tout en mon pouvoir pour offrir le meilleur à mon chien. Je suis curieux de nature et comme c’est un sujet qui m’intéresse, j’ai lu plusieurs livres, articles et études sur le sujet (dont vous pourrez voir la liste à la fin de ce document). Est-ce que votre vétérinaire a lu toutes ces études et ces livres? Probablement pas. Après tout, il a des animaux à soigner…pas moi!

Ma propre vétérinaire (que j’adore) était bien sceptique lorsque j’ai abordé le sujet avec elle la première fois. Comment moi, un gars qui a juste lu sur le sujet, pouvait lui poser des questions censées, au point de lui faire revoir ses positions? Après tout, c’est supposé être ELLE la spécialiste du sujet. Mais à force de lui apporter de la documentation appuyant mes propos et grâce à son ouverture d’esprit, je suis fier de dire que j’ai été le premier client de sa clinique à faire tester mon chien pour savoir s’il était protégé par ses vaccins.

En bref, je me permets de soulever des questions simplement car il n’existe aucune preuve scientifique appuyant les recommandations de vaccination utilisées par les vétérinaires (que ce soit la vaccination annuelle ou aux trois ans comme nous l’avons vu). Il existe par contre des preuves scientifiques irréfutables (les études du Dr. Schultz) que l’animal est protégé pour la vie et malgré ça, les vétérinaires continuent de fermer les yeux et de vacciner comme dans les années 70 alors qu’aucune recherche n’avait été faite. C’est pourquoi le Dr. Schultz qualifie les procédures actuelles en matière de vaccination de « pratique indéfendable ».

La vaccination est une business, ne l’oublions pas, du même type que la prescription de médicaments pour les humains est une business gérée par les médecins et les compagnies pharmaceutiques!

Critères requis pour vacciner votre animal

Voici les critères qui devraient être respectés afin de vacciner votre animal :

  1. L’animal est en santé. En aucun temps un animal malade doit recevoir de vaccin.
  2. Le vaccin sert à protéger d’une maladie dangereuse pour sa vie. La majorité des vaccins (sauf ceux pour la base) protègent pour des maladies mineures qui sont traitables par divers moyens (ex : antibiotiques). Nul besoin de vacciner dans ce cas, les risques étant plus grands que les bienfaits.
  3. Votre animal a des chances d’être exposé à cette maladie, soit par le lieu qu’il habite (ville, région, pays) ou par ses activités (ex : si l’animal va souvent en forêt ou bois dans les cours d’eau).
  4. Le vaccin est considéré sécuritaire et efficace. La majorité ne le sont pas (ils sont généralement un ou l’autre mais rarement les deux)!

 

L’évolution de la vaccination

Dans les années 70, les fabricants de vaccins ont confirmé que ceux-ci protègent l’animal en effectuant des études par exposition (challenge), c’est-à-dire en donnant la maladie à des animaux vaccinés pour observer leur protection. Ces études étaient à chaque fois menées pour quelques semaines ou au mieux, quelques mois. Pour cette raison, ils ont inscrit « revaccination annuelle recommandée » sur les emballages. Non parce que la revaccination est nécessaire mais bien juste parce qu’ils n’ont jamais vérifié! C’est donc pour cette raison que les vétérinaires ont prit l’habitude de vacciner chaque année, personne n’ayant fait d’études plus longues.

C’est là qu’entre en scène un jeune scientifique du nom de Dr. Ronald Schultz. Lui, contrairement aux fabricants de vaccins, il a décidé de la faire cette étude à long terme afin de savoir pendant combien de temps les trois vaccins de base (distemper, parvovirus et adenovirus) protègent l’animal une fois qu’ils sont administrés correctement. À l’aide de son équipe, il a donc testé plus de 1000 chiens de toutes races en les vaccinant avec un des différents types de vaccins disponible sur le marché. Ils ont ensuite mesuré l’immunité de deux façons : par exposition (en exposant l’animal à la maladie) et par titrage (en mesurant le nombre d’anticorps dans le sang).

Cette étude, menée pendant plus de 15 ans l’a porté à conclure que suite à UNE dose de vaccin donnée passé 16 semaines d’âge, les chiens sont protégés au MINIMUM (dans le pire des cas) :

Maladie

Protection par exposition

Protection par titrage

 

Distemper

 

Minimum 7 ans

 

Minimum 15 ans

 

Parvovirus

 

Minimum 7 ans

 

Minimum 9 ans

 

Adenovirus

 

Minimum 7 ans

 

Minimum 9 ans

Sachant que la majorité des chiens vivent entre 10 et 15 ans, il n’est donc pas faux d’affirmer qu’une fois protégé contre ces maladies, l’animal le sera pour toute sa vie ou au minimum pendant 7 ans.

“Only one dose of the modified-live canine ‘core’ vaccine (against CDV (distemper), CAV-2 (adenovirus) and CPV-2 (parvovirus)) when administered at 16 weeks or older, will provide long lasting (many years to a lifetime) immunity in a very high percentage of animals (95%)” «Are we vaccinating too much? » – Ronald Schultz. JAVMA, No. 4, 15 août 1995, p. 421

Au moment de la sortie de cette étude (il y a maintenant 21 ans), les vétérinaires vaccinaient chaque année, non pas parce que ce qu’ils nomment les « rappels » sont nécessaires mais bien parce que les fabricants n’avaient jamais testé leurs produits plus longtemps que quelques mois! Jusque là, personne ne savait vraiment combien de temps duraient chaque vaccin, alors ils aimaient mieux vacciner plus souvent que pas assez. C’était par contre sans savoir les risques à long terme de la sur-vaccination, que nous verrons plus loin.

Grâce aux recherches du Dr. Schultz, les associations de vétérinaires savaient maintenant que pour les vaccins de base, les vaccins protégeaient pour toute la vie de l’animal. C’est donc suite à ces recherches qu’en 2003 (quand même 8 ans après la sortie de l’étude), l’association des vétérinaires américains (AAHA) a créé un comité spécial de 14 experts. Ce comité (dont faisait partie le Dr. Schultz) a eu comme mandat d’établir les nouvelles recommandations faites aux vétérinaires. Après de longs débats, ils ont finalement statué pour recommander de vacciner…aux 3 ans.

Pourquoi 3 ans? En fait, il n’y a aucune science derrière le choix du 3 ans. C’est tout simplement un compromis. Comme l’indique le Dr. Richard Ford, professeur de médecine à l’Université de la Caroline du nord et membre du comité de l’AAHA:

“It’s completely arbitrary…I will say there is no science behind the three-year recommendation…” Richard Ford, 2003

Par contre, le bon point est que ce même comité a forcé les fabricants de vaccins à effectuer les études pour au moins prouver que les vaccins durent 3 ans et ainsi l’écrire sur l’emballage en remplacement du « revaccination annuelle recommandée ».

En 2006 (soit près de 30 ans après les premières études du Dr. Schultz), l’étiquetage des vaccins fut modifié pour inscrire le 3 ans et les recommandations en matière de vaccination aux vétérinaires ont changées. Ce compromis était encore loin de la vérité (7 ans minimum) mais au moins, c’était un pas vers la bonne direction.

En 2011, devant les études répétées du Dr. Schultz prouvant l’immunité pour la vie (encore aujourd’hui, il poursuit toujours les recherches sur ce même sujet), l’AAHA a une fois de plus corrigé ses consignes en matière de vaccination. Ils recommandent encore la revaccination aux 3 ans mais en ajoutant « Pour les chiens en bonne santé, tous les vaccins de base disponibles sur le marché offrent une immunité protectrice durant au moins 5 ans ».

Encore un compromis…ils sont rendus à 5 ans maintenant mais cette fois-ci ils n’ont pas forcé les manufacturiers de vaccins à faire des études pour changer l’étiquetage, ce qui fait que c’est encore inscrit « 3 ans » sur l’emballage des vaccins.

Cela dits, les vétérinaires ne sont pas obligés de suivre les recommandations de leur association et peuvent encore vacciner à chaque année s’ils le désirent. En fait, selon un fabricant de vaccins, 60% des vétérinaires vaccinent encore chaque année. C’est donc à nous, les propriétaires de chiens à poser les questions ou refuser les vaccins proposés par le vétérinaire. Si leur association dit aux 5 ans, pourquoi iraient-ils à l’encontre de ça? Une seule raison : le cash. Ils savent que sans la « défaite » des rappels de vaccins, vous n’irez pas chez le vétérinaire, ne serait-ce qu’une fois par année pour un examen de routine. Ils ont donc besoin d’une raison pour vous faire venir à la clinique sur une base annuelle et se servent de la vaccination pour arriver à ce but.

“Profits are what vaccine critics believe is at the root of the profession’s resistance to update its protocols. Without the lure of vaccines, clients might be less inclined to make yearly veterinary visits. Vaccines add up to 14 percent of the average practice’s income (AAHA reports) and veterinarians stand to lose big.  I suspect some are ignoring my work. Tying vaccinations into the annual visit became prominent in the 1980s and a way of practicing in the 1990s. Now veterinarians don’t want to give it up.” Ronald Schultz

Vous êtes curieux de savoir de quelle façon le Dr. Schultz vaccine ses propres chiens? Et bien il donne la base uniquement (jusqu’à 16-18 semaines) et ensuite…plus jamais aucun vaccin. On parle ici de la personne ayant le plus de connaissances en vaccination animale au monde, que ce soit concernant la durée de la protection (immunité) ou les risques découlant de la vaccination.

Pourquoi vaccine-on les chiots à plusieurs reprises dans un court laps de temps au début de leur vie?

Un chiot naissant n’est pas naturellement immunisé contre les maladies. Il le devient par contre en buvant le premier lait de sa mère suivant sa naissance. Ce lait spécial s’appelle le colostrum, qui lui transmettra des anticorps pendant les premiers 12 à 24h. Ces anticorps se nomment les anticorps maternels. Il est important de savoir que le chiot recevra seulement les anticorps pour combattre les maladies pour laquelle la mère a été soit vaccinée ou exposée. Par exemple, si la mère n’a jamais été vacciné contre le parvorirus (ni exposée), elle ne pourra pas transmettre ces anticorps (qu’elle n’a pas) à son chiot.

Tant que le chiot sera immunisé par les anticorps maternels, un vaccin commercial (du vétérinaire) n’aura aucun effet puisque les anticorps provenant de la mère sont plus « forts ». Cela dit, il n’y a pas de science exacte pour savoir à quel moment précis les anticorps maternels cesseront d’être efficaces. Pire, il y a une période où les anticorps maternels ne seront pas assez forts pour protéger le chiot mais trop forts pour permettre au vaccin commercial de fonctionner. Cette période s’appelle la fenêtre de susceptibilité.

La fenêtre de susceptibilité va varier d’une portée à l’autre et même d’un chiot à l’autre issue de la même portée. Une étude a démontrée qu’à six semaines, 25% des chiots peuvent être immunisés avec un vaccin commercial. À 9 semaines, 40% répondront au vaccin. Ce chiffre augmente à 60% à 16 semaines et finalement à 18 semaines, 95% des chiots seront protégés par le vaccin.

C’est donc pour tenter d’assurer la meilleure protection possible au chiot (et pour réduire au maximum la fenêtre de susceptibilité) que l’on vaccine à trois reprises : 9-10 semaines, 14 semaines et finalement 16-18 semaines. Les trois vaccins de chiot sont donc hyper importants si on veut s’assurer que notre chien sera à risque (causé par la fenêtre de susceptibilité) le moins longtemps possible.

Finalement, on ajoute généralement le vaccin de la rage à 20 semaines. Il est très important de séparer le vaccin pour la rage des autres vaccins puisque c’est le plus difficile pour le chiot (le plus assommant). Assurez-vous donc de ne jamais donner le vaccin de rage en même temps que n’importe quel autre vaccin.

Le vaccin contre la rage

Un test de titrage (que j’expliquerai sous peu) est également possible pour vérifier le niveau de protection contre la rage. Ce test est encore moins connu que ceux pour les trois autres vaccins de base principalement parce qu’aux États-Unis, le vaccin de la rage est obligatoire par la loi, ce qui n’est pas le cas ici au Canada. Comme les américains n’ont pas le choix de donner le vaccin (il en existe deux : un qui est prouvé efficace pour un an et l’autre pour 3 ans), peu de gens vont tester leur chien puisque selon la loi, même un test de titrage ne peut remplacer le vaccin pour ce qui est de la rage. Ici, comme nous n’avons pas cette obligation légale de vacciner contre la rage, le test de titrage pourrait être une bonne option.

Concernant la durée de protection réelle, en 1992 une étude française a prouvée que l’immunité de ce vaccin dure au minimum 5 ans. L’équipe du Dr. Schultz travaille actuellement à prouver la même chose. Ils ont déjà prouvé, comme l’étude française, que le vaccin protège pendant 5 ans et ils sont en route pour vérifier si la protection dure 7 ans. Une fois qu’ils auront les conclusions de leur étude, ils tenteront de faire changer les lois américaines pour enfin arrêter de vacciner à chaque année…comme ils l’ont fait il y a près de 15 ans pour les trois autres vaccins de base.

Comment avoir la confirmation qu’un animal est bien protégé par ses vaccins de base?

Il existe un test sanguin à faire qui permet de déterminer le niveau de protection d’un animal aux trois maladies de base (distemper, parvovirus et adenovirus). Le test s’appelle un titrage ou une sérologie (titer test en anglais). La procédure est très simple : le vétérinaire fait une prise de sang et l’envoi ensuite au laboratoire pour analyse.

À ce jour, très peu de vétérinaires proposent ce test à leurs clients. Pourtant, non seulement ce test permet de savoir si oui ou non l’animal est protégé pour chaque maladie séparément mais il permet aussi de savoir son niveau de protection. Les résultats nous permettent donc de prendre la meilleure décision possible en matière de vaccination, en sachant exactement ce que l’animal a besoin. Par exemple, un chien peut très bien être encore protégé pour le parvovirus mais ne plus l’être pour le distemper.

Il est quand même dommage de voir que nous sommes si rapide pour donner des vaccins mais si lents pour passer les tests pour savoir si notre chien a besoin de ces vaccins…

De plus, il ne faut pas oublier que vacciner un animal n’est pas une garantie qu’il sera protégé (que le vaccin va «fonctionner»). On pourrait donc passer notre vie à vacciner un animal en pensant qu’il est protégé mais sans jamais avoir la confirmation qu’il l’est. Le test permet d’avoir cette confirmation. Moi en tant que propriétaire de chien, le test de titrage me rassure drôlement plus au sujet de mon chien que de simplement le vacciner en me croisant les doigts que le vaccin va fonctionner!

Pourquoi le titrage (titer test) n’est pas plus populaire?

Principalement pour une question de coûts mais aussi car le test est peu connu. Il en coûte plus cher de faire passer ce test que de vacciner. Par contre, en sachant qu’une fois confirmé, le chien n’aura plus besoin d’être vacciné pendant de nombreuses années, voir pour le reste de ses jours, le test peut donc s’avérer une économie si on pense à long terme.

À titre d’exemple, le test de titrage chez mon vétérinaire coûte $240. Un vaccin quant à lui coûte environ $20 sauf qu’il vient obligatoirement avec une évaluation du chien (pour s’assurer qu’on ne vaccine pas un chien en mauvaise santé), ce qui fait monter la facture autour de $75. Nous pouvons donc voir qu’au bout de trois vaccinations nous arrivons au même montant que le titer test. Par contre, je le rappelle, la vaccination n’offre aucune garantie que l’animal est bien protégé, alors que le titrage lui, prouve le niveau de protection pour chaque maladie.

Pour ceux qui voudraient économiser sur ce test, le laboratoire du Dr. Schultz au Wisconsin offre le test pour $45 (US). En ajoutant le taux de change, le mandat poste en US, la prise de sang par le vétérinaire et l’envoi express en deux jours : ça fait un total d’environ $140 (canadien). Sinon, la clinique vétérinaire holistique de Magog offre le test pour environ 40$. 

Encore mieux, depuis peu, les vétérinaires peuvent effectuer le test eux-mêmes, en clinique et avoir les résultats en 15 minutes. Les vétérinaires ont donc accès à deux tests de ce type, fabriqués par deux compagnies compétitrices : le TiterCHEK et le Vaccicheck. La bonne nouvelle : le coût de ce test en clinique est environ le même que celui d’un vaccin!

Dans un monde idéal :

  1. On croit que votre chien est dû pour ses vaccins. L’animal se présente chez le vétérinaire.
  2. On effectue le test en clinique (TiterCHEK ou Vaccicheck).
  3. S’il est protégé pour toutes les maladies testées, on ne vaccine pas et la visite se termine là. S’il n’est pas protégé, on le vaccine mais uniquement pour la ou les maladies nécessaires.

Malheureusement, nous sommes loin de là puisqu’en réalité, aucune clinique ne tient le test en stock. Leur raison : « nous n’avons pas assez de demande pour l’acheter ». Personnellement, je leur réponds « mais comment voulez-vous avoir de la demande si les gens ne savent même pas que ce test existe? ». Maintenant que vous savez que ça existe, vous savez ce qu’il vous reste à faire : demandez-le!

L’important à se souvenir est que VOUS êtes la meilleure personne pour choisir ce qu’il y a de mieux pour votre animal. Si votre vétérinaire n’a même pas l’ouverture d’esprit pour écouter vos questions suite à la lecture de ce document, changez de clinique! Personnellement je me dis que si mon vétérinaire n’est même pas prêt à discuter de vaccination avec moi, il ne mérite simplement pas de traiter mon chien…

Le problème avec les vaccins utilisés au Québec

Les vaccins disponibles ici (au Québec) sont malheureusement toujours sous formes de combo (avec des noms comme DHPP), ce qui veut dire que plusieurs vaccins (maladies) sont injectés ensemble; puisque c’est plus pratique pour le vétérinaire et moins cher pour le client. Par contre, si on a la santé de notre chien à cœur, c’est la pire chose à faire!

Pour mieux vous expliquer, lorsqu’un vaccin « de base » est donné chez le vétérinaire, la seringue du vaccin contiendra en réalité de 4 à 7 maladies telles que : distemper, parvovirus, adenovirus 1 et 2, parainfluenza, leptospirose, corona, etc…Tout ça dans UNE injection. Pas surprenant que nos chiens réagissent fréquemment dans les heures ou les jours qui suivent un vaccin!

Imaginez vous faire vacciner pour: le tétanos, l’hépatite, la méningite, la rage et la tuberculose DANS LA MÊME INJECTION. Imaginez la surcharge que ça ferait à notre système immunitaire. Je suis loin d’être certain qu’on se sentirait en forme après…mais c’est pourtant ce qu’on fait à nos animaux.

Le but d’un vaccin est d’envoyer une maladie, en petite partie et très affaiblie dans notre corps pour que notre système immunitaire produise des anticorps (ce qui nous protège). En utilisant des injections combo (4 à 7 maladies dans la même injection), notre système immunitaire ne sait plus où donner de la tête, étant attaqué de toute part par plusieurs maladies différentes.

De plus, les vaccins sont toujours testés séparément par le fabriquant (pour déterminer les effets secondaires) alors qu’ils sont toujours donnés sous forme de combos. Pire, les tests sont toujours effectués sur des races reconnues pour avoir très peu de réactions possibles (comme le beagle).

En bref : les vétérinaires utilisent ces injections combos car c’est plus simple pour eux, moins cher pour le client (vous) mais c’est en fait la pire chose qu’on peut faire si on se soucie du bien-être de notre chien. Pour faire un comparatif : il serait plus simple pour nous de manger tous nos repas de la journée en une seule fois…mais est-ce l’idéal?

Idéalement, chaque vaccin devrait être donné séparément, à 2-3 semaines d’intervalle. Par exemple: seulement Distemper pour la 1re injection. 3 semaines après: seulement Parvo, etc…En employant des injections combo, on augmente donc énormément les chances de réactions.

Les dangers de la vaccination

Chaque vaccin, peu importe la fréquence à laquelle il est donné, comporte un danger de réaction de la part du chien. Ces réactions surviennent soit dans les minutes, les heures ou les jours (maximum 3 jours) qui suivent l’injection. Certains vaccins provoquent plus de réactions que d’autres comme par exemple celui de la rage et de la leptospirose qui sont les pires.

Les petites races sont également plus sujettes à faire des réactions aux vaccins. À ce sujet, une étude a été faite chez les petites races et chaque fois qu’on ajoute UN vaccin de plus dans la même injection, on augmente les chances de réaction au vaccin de 27%. En sachant que les vaccins ici contiennent généralement 4 ou 5 maladies…faites le calcul!

Finalement, une autre chose qu’il est important de savoir est que la dose du vaccin donné n’est pas ajustée en fonction du poids du chien. Cela signifie donc qu’un chihuahua reçoit la même dose de vaccin (et de produits chimiques!) qu’un grand danois. Ce n’est donc pas surprenant que les petites races réagissent plus fréquemment.

Les dangers de vacciner trop souvent (sur-vaccination)

Nous avons vu que les chances de réactions allergiques suite au vaccin sont possibles et augmentent considérablement en utilisant des vaccins sous forme combo. Cela est sans compter les dommages à long terme de vacciner trop fréquemment (à chaque année ou aux trois ans par exemple).

Tout d’abord, il faut savoir que les chiens réagissent en fait à une partie du vaccin qui s’appelle l’adjuvant. L’adjuvant est en fait un produit chimique contenu dans le vaccin servant à stimuler la réponse du système immunitaire. Les trois principaux adjuvants sont l’hydroxyde d’aluminium, le phosphate d’aluminium et le phosphate de calcium. Pour votre information, l’Organisation Mondiale de la Santé a classé l’hydroxyde d’aluminium grade 3 sur un total de 4 grades cancérigènes; le grade 4 étant la classe des produits les plus cancérigènes existants…et c’est ce qu’on injecte à nos chiens pour les protéger! Les vaccins de la rage, leptospirose et lyme contiennent de l’hydroxyde d’aluminium dans leur composition.

De nos jours, 50% des chiens adultes décèdent du cancer. En 2010 seulement, la compagnie VPI (le plus gros assureur d’animaux domestiques aux États-Unis) a reçu 71 000 demandes de réclamations de cancer. De plus, plusieurs chiens en vieillissant souffrent de maladies chroniques (diabète, maladie du système immunitaire, etc…). Pourtant, nous n’avons jamais autant vacciné nos chiens. Quelqu’un doit mettre les morceaux du casse-tête ensemble! Avouons-le, les choses ont de bonnes chances d’être reliées.

Les effets secondaires reliés à la vaccination

Voici un tableau répertoriant les réactions possibles reliées à la vaccination. En général, vous remarquerez que les réactions fréquentes surviendront surtout à court terme suivant l’administration du vaccin, alors que les réactions modérées et (surtout) les réactions sévères seront principalement des répercussions à plus longs termes sur la santé du chien.

Les réactions fréquentes:

  • Léthargie
  • Perte de poil ou changement de couleur au site d’injection
  • Fièvre
  • Raideur
  • Douleur
  • Perte d’appétit
  • Conjonctivite
  • Éternuements
  • Ulcères buccaux

Les réactions modérées:

  • Immunosuppression
  • Changement de comportement
  • Perte de poids
  • Réduction de la production de lait
  • Boiterie
  • Abcès
  • Urticaire
  • Œdème facial
  • Détresse respiratoire

Les réactions sévères:

  • Sarcome (tumeur cancéreuse) au site de l’injection
  • Anaphylaxie
  • Arthrite et polyarthrite
  • Ostéodystrophie hypertrophique (maladie des os)
  • Anémie hémolytique auto-immune
  • Thrombocytopénie à médiation immunitaire
  • Maladie de la glande thyroïde
  • Maladie dont le même vaccin était supposée protéger l’animal
  • Myocardite (maladie du cœur)
  • Convulsions
  • Avortement
  • Anomalies congénitales

 

Les vaccins optionnels (non-core) :

Il est très important de savoir que les vaccins optionnels diffèrent complètement des vaccins de base qui eux, sont essentiels. Les vaccins optionnels ont généralement une efficacité très courte et dans bien des cas, ne devraient pas être donnés; les risques de réactions étant plus importants que les bienfaits qu’ils peuvent apporter pour la gravité des symptômes de la maladie. Voici en détails la majorité des vaccins optionnels :

Maladie

Efficacité

Durée de l’immunité

Risque et sévérité des effets secondaires

Bordetella (toux de chenil)

Intranasal : moyenne

 

Injectable : faible

Courte

Faible

Parainfluenza (toux de chenil)

Intranasal : moyenne

 

Injectable : faible

Modérée

Faible

Influenza

Inconnue (vaccin en attente d’approbation)

Inconnue

Inconnue

Leptospirose

Faible            (moins de 70%)

De 2 semaines à 8 mois

Très élevé

Lyme

Faible

1 an

Moyen

Corona

Faible

Inconnue

Faible

Giardia

Faible

Inconnue

Faible


Bordetella:

Le Bordetella est une bactérie qu’on appelle communément la « toux de chenil ».

C’est une toux, traitable avec des antibiotiques. En bref, ce n’est rien de pire qu’un rhume, mais pour les chiens. Pour l’attraper, le chien devra se trouver dans un endroit fermé et non ventilé, comme…un chenil. Il est donc impossible que votre chien attrape ça au parc à chiens!

Il y a deux types de vaccins : un qu’on injecte et l’autre qui est administré par les narines. Celui administré par les narines est plus efficace, mais aucun des deux ne va empêcher l’infection. Ils vont juste atténuer les symptômes. Pour celui injecté : deux doses sont nécessaires (à 3-4 semaines d’interval) et l’animal ne sera protégé que une à deux semaines suivant la 2e injection. De plus, certains spécialistes croient que l’animal NON vacciné combattra plus facilement l’infection que celui vacciné (qui a son système immunitaire affaibli par un vaccin peu efficace).

Aussi, une fois que le chien est guérit de l’infection (les symptômes partent au bout de 6-10 jours), il continue d’être contagieux pendant 6 à 14 semaines. C’est pour cette raison que le Dr. Schultz qualifie la toux de chenil de « maladie non-vaccinable ».


Parainfluenza:

Le Parainfluenza est un virus qu’on appelle communément la « toux de chenil ».

C’est une toux, traitable avec des antibiotiques quoique souvent, les symptômes passent au bout de quelques jours sans médication. En bref, ce n’est rien de pire qu’un rhume, mais pour les chiens.

Pour l’attraper, le chien devra se trouver dans un endroit fermé et non ventilé. Il est donc impossible que votre chien attrape ça au parc à chiens!

Le Parainfluenza est généralement inclus dans un combo « de base » alors qu’il s’agit d’un vaccin optionnel (et peu efficace). Il y a 40 sérotypes (variétés) de la maladie et le vaccin (intranasal) protège…pour deux! Et celui injectable est encore moins efficace! Pourtant, on l’inclut dans presque chaque vaccin de base (c’est un des deux « P » dans DHPP).

Celui qu’on administre par les narines protège de la maladie ET de la transmission, alors que celui injectable protège seulement de la maladie et PAS de la transmission (aux autres chiens). Pourquoi alors qu’ils nous imposent le moins efficace des deux?

Pour celui injecté : deux doses sont nécessaires (à 3-4 semaines d’interval) et l’animal ne sera protégé que une à deux semaines suivant la 2e injection, pour une durée de moins de un an. Et on nous inclus ça avec le combo de base…qui est répétable aux 3 ans! Vous voyez le non sens?

Comme le dit le Dr. Schultz : « la toux de chenil est une maladie non-vaccinable ».


Influenza:

L’influenza canine (H3N8) est une grippe et les symptômes sont difficiles à différentier de la toux de chenil. De 20 à 25% de chiens infectés n’auront aucun symptôme. Pour diagnostiquer l’influenza, on doit faire deux analyses de sang : une du sang qu’on croit infecté et une autre 10-14 jours plus tard afin de comparer les deux.

Ce virus est très nouveau : il a apparu en 2003 lorsque des lévriers de course sont tombés malades. Il s’est avéré que le virus a muté des cheveux (qui utilisent les mêmes pistes de course) pour s’attaquer aux chiens. Fait cocasse (et triste à la fois), c’est justement la vaccination de masse des chevaux qui a fait que le virus a muté pour se transmettre aux chiens. Le vaccin a été précipité sur le marché avec une licence « conditionnelle » toujours en attente d’approbation. Ses dangers ne sont donc pas connus. Désirez-vous vraiment que votre chien en soit le cobaye?

Comme pour la toux de chenil, le virus s’attaque principalement aux chiens vivant rassemblés dans de mauvaises conditions de ventilation (chenils, refuges, etc.). Le virus est par contre facilement éliminé par les produits d’entretien ménager usuels des chenils et refuges (ce qui vous montre à quel point ce n’est pas très virulent.

Les experts ne recommandent PAS ce vaccin puisqu’encore une fois le vaccin risque de faire plus de dommages que de bien et avec un bon système immunitaire, le chien se remettra naturellement des symptômes.


Leptospirose:

C’est une infection bactérienne transmise (généralement) par l’urine du rat. Par contre, les études ont démontrées que ce vaccin est LE PLUS DANGEREUX pour ce qui est des réactions, principalement pour les petites races.

De plus, le vaccin ne protège que pour 4 sérotypes (variétés) sur un total de…230! Vous avez bien lu, 230 variétés…

Finalement, une fois que le chien sera vacciné, le test sanguin du vétérinaire va toujours indiquer que le chien est porteur de la maladie. Le test ne fait pas de différence entre les anticorps du vaccin et la vraie maladie! Alors si jamais votre chien a les symptômes, on ne pourra jamais vous confirmer qu’il a la maladie ou non.

S’il y a UN vaccin que vous devriez NE PAS donner, c’est celui-ci! Donc si votre vétérinaire veut donner « DHLPP » à votre chien : arrêtez-le! Le « L », c’est pour Leptospirose!


Lyme:

Transmis par la tique à chevreuil. L’efficacité du vaccin est faible. Par contre, c’est une autre maladie traitable avec des antibiotiques.

Un traitement préventif pour les tiques (Revolution, K9 Advantix II ou Frontline) sera drôlement plus efficace que le vaccin pour protéger de la maladie de lyme.

Finalement, comme pour la leptospirose, une fois que le chien sera vacciné, le test sanguin du vétérinaire va toujours indiquer que le chien est porteur de la maladie. Le test ne fait pas de différence entre les anticorps du vaccin et la vraie maladie!


Corona

C’est une infection de l’intestin et si jamais votre chien en est atteint, c’est plus facile à traiter que de dealer avec les effets secondaires de ce vaccin. Bref, ce n’est aucunement dangereux.

Se faire vacciner pour ça chez l’humain reviendrait à se faire vacciner pour une légère diarrhée (qui est le symptôme de cette infection). La majorité des vétérinaires ne recommandent pas ce vaccin. En fait, même leur association américaine (AAHA) ne recommande plus ce vaccin depuis plus de 10 ans. Si votre vétérinaire veut donner un combo « DHLPPC », arrêtez-le. Le « C », c’est pour Corona.


Giardia:

C’est un parasite qui touche le système digestif. La majorité des infections par ce parasite ne causera aucun symptôme aux chiens et finira par passer dans les selles. Par contre, comme le parasite n’est pas présent dans toutes les selles lorsqu’infecté, c’est donc difficile à prouver (on doit alors prendre plusieurs échantillons). Pour compliquer encore plus l’affaire, plusieurs chiens sont porteurs sans avoir de symptômes. Donc en cas de test positif, est-ce parce que le chien en était déjà porteur ou bien parce qu’il vient d’attrape le parasite?

Pour contracter la Giardia, le chien doit boire de l’eau contaminée.


Le futur de la vaccination

Modification du calendrier de vaccination

Avec l’avancée des recherches, nous avons de plus en plus la confirmation que les vaccins protègent nos animaux pour plus longtemps qu’on le croyait. En plus, les tests de titrage devenant de plus en plus faciles feront qu’à la longue nous vaccinerons mieux nos animaux. Les vaccins seront donc mieux donnés et les vétérinaires adopteront (lentement mais surement) un calendrier plus adapté au bien-être de nos animaux. Par exemple : vaccination pour la maladie A la première année, la maladie B la 2e année, la maladie C la 3e année, etc…

Davantage de vaccins uniques

Ceci est mon plus grand souhait : que les cliniques (et les fabricants) rendent plus disponibles des vaccins uniques. Par exemple : un vaccin JUSTE de Distemper, un autre JUSTE de Parvovirus, etc…Ceci permettra de réduire les risques de réactions en plus de vacciner précisément et uniquement pour ce que l’animal a besoin. En plus simple : je ne veux plus voir de vaccins combos avec 4-5-6 vaccins dans la même seringue!

Nouvelles méthodes de vaccination

Avec les années, nous verrons apparaitre de nouvelles méthodes de vaccinations qui seront plus sûres que les injections. Par exemple, les vaccins oraux (pilule à avaler) sont déjà présents pour traiter les animaux sauvages contre la rage. Les vaccins intra-nasaux (à administrer par les narines) sont déjà présents pour les maladies des voies respiratoires comme la toux de chenil. Des vaccins à libération lente pourraient aussi être développés afin de continuer à stimuler le système immunitaire sur une longue période plutôt que lui donner un gros « boost » lors de l’injection qui diminuera par la suite avec le temps.

Des vaccins plus sûrs et améliorés

Les vaccins recombinants sont la voie du futur. Conçus avec une portion du gène du virus choisi pour produire de meilleurs anticorps, ils sont combinés avec un élément leur permettant d’atteindre plus facilement les cellules du corps. De plus, un vaccin recombinant ne peut PAS être anéanti par les anticorps maternels. Il va donc sans dire que lorsqu’il s’agit de vaccination des chiots, un vaccin recombinant est largement supérieurs aux autres types de vaccins. Finalement, un vaccin recombinant ne contient pas d’adjuvant qui rappelons-le, est ce qui cause la majorité des effets secondaires à long terme et réactions allergiques à court terme suivant la vaccination.

Au Québec, la compagnie Merial fabrique des vaccins recombinants et cette série s’appelle RECOMBITEK dans leur catalogue de produits. Demandez-le à votre vétérinaire. C’est un vaccin plus efficace (parce qu’il n’est pas affecté par les anticorps maternels) et sans adjuvant chimique comme tous les autres vaccins présents sur le marché.

C’est carrément la vaccination 2.0 (améliorée) : plus sure et plus efficace. Même si elle coûte plus chère, elle en vaut la peine!

Des vaccins pour de nouvelles maladies

La technologie recombinant permettra de vacciner pour de nouvelles maladies, comme par exemple le diabète, les parasites externes (puces, tiques, etc). Un vaccin pour un type de cancer (mélanomes) est d’ailleurs déjà sur le marché.

Un vaccin pour prévenir la parodontite (une maladie des gencives) a aussi été mis sur le marché par Pfizer en 2006, qui l’a par la suite discontinué en avril 2011 pour cause de manque d’efficacité. Malgré cela, nous pouvons tout de même nous réjouir que de nouveaux vaccins soient développés!

Conclusion

Dans les années qui viennent, espérons que les méthodes de vaccinations deviendront plus centrées sur le bien-être des animaux et moins sur les profits des vétérinaires. Pour y arriver, nous devons d’abord prendre conscience des dangers actuels de la vaccination comme elle est faite présentement. N’ayez pas peur de questionner votre vétérinaire (et même lui tenir tête) suite à la lecture de ce document ou de lui fournir les références qui suivent.

Nos animaux comptent sur NOUS!

 

Bibliographie

Reviewing vital vaccinations – Dr. Richard Ford (2015)

Dr. Karen Becker interview Dr. Ronald Schultz (2011)

Saving lives with antibody testing – Dr. Ronald Schultz (2011)

Questions/réponses issues de cette conférence:

http://www.maddiesfund.org/Documents/Resource%20Library/Titer%20Testing%20Q%20and%20A.pdf

Stop the shots – John Clifton (2007), 102 pages.

Shock to the System – The facts about animal vaccination, pet food and how to keep your pet healthy – Catherine O’Driscoll (2005), 215 pages.

Scared poopless – The straight scoop on dog care – Jan Rasmusen (2014), 611 pages.

Pet immunization : far riskier than you might think, yet highly promoted by vets – Dr. Karen Becker

Revaccination and dogs– Dana Scott, éditrice en chef du magazine Dogs Naturally :

Articles sur le test de titrage :

http://www.dogsnaturallymagazine.com/titers-avoiding-over-vaccination-in-dogs/

http://www.dogsnaturallymagazine.com/the-simple-guide-to-titer-testing-dogs/

http://www.dogsnaturallymagazine.com/titer-testing/

http://www.dogs4dogs.com/blog/2008/10/22/titer-test/

Combination shots for dogs : weapons of over-vaccination – Jan Rasmusen

Vaccinating small dogs : risks vets aren’t revealing – Jan Rasmusen

Races les plus à risque de réactions

Étude sur les réactions aux vaccins pour les petites races de chiens

Clinical approaches to managing and treating adverse vaccine reactions – W. Jean Dodds, DMV

What everyone needs to know about canine vaccines – Dr. Ronald Schultz (2012)

Comparatif entre les différents vaccins – Dr. Foster et Dr. Smith

Vets on vaccines – par plusieurs vétérinaires, propos recueillis par Catherine O’Driscoll

Bordetella (toux de chenil)

http://www.dogsnaturallymagazine.com/bordatella-vaccination-dogs/

http://www.dogsnaturallymagazine.com/bordetella-does-your-dog-really-need-the-kennel-cough-vaccine/

http://www.peteducation.com/article.cfm?c=2+2096&aid=452

Influenza canine – American Veterinary Medical Association

https://www.avma.org/KB/Resources/Reference/Pages/Canine-Influenza-Backgrounder.aspx

Giardia – Dr. Foster et Dr. Smith

http://www.peteducation.com/article.cfm?c=2+2102&aid=739

Le futur de la vaccination – Dr. Foster et Dr. Smith

AAHA canine vaccination guideline explanations

What is a recombinant vaccine and how does it work? – Dr. Janet Tobiassen Crosby

 

 Source de cet article :  http://aunomduchien.com/vaccination-2/

 

Super site au sujet des dangers de la vaccination !

 

http://www.dogs4dogs.com/shots